Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 35

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

s javelots à la poignée sertie d'émeraudes. Cette véritable cascade de splendeurs aurait fait pâlir d’envie les musées de n’importe quel pays du monde.
Keifer fut le premier à terminer du regard un rapide survol.
Avant de toucher à quoi que ce soit, nous devons établir un dossier photographique complet, dresser un plan des lieux et un inventaire d’une précision sans faille, fit-il d’une voix creuse.
Je suis tout à fait de votre avis, professeur, répondit Liam avec un débit plus saccadé qu’à son habitude. Pour bien faire, il serait également judicieux de réunir les meilleurs spécialistes afin de déterminer quelles méthodes il convient d’appliquer pour assurer la parfaite conservation de ces merveilles.
Tara mesurait d’un coup l'immensité du travail qui les attendait. En raison de la fatigue physique et de la tension nerveuse permanente qu’il connaissait depuis plusieurs semaines, il se laissa gagner par une sorte de lassitude et baissa les yeux, découragé.
Son état d'esprit n'échappa pas à la perspicacité de son mentor. Keifer le saisit paternellement par les épaules, le secoua un peu pour remettre ses idées d'aplomb, et ajouta comme pour lui- même :
- Allons, Liam, c'est maintenant que nous devons prouver, surtout à nous-mêmes, que notre conviction est à la mesure de nos rêves. Regarde devant toi, lui dit-il en lui montrant d’un large geste de la main le trésor qu'ils avaient enfin réussi à mettre à jour. Regarde bien, Liam. Des milliers d'années se sont écoulées depuis que le dernier homme a foulé de ses pieds ce sol couvert de poussière, et pourtant, ses traces sont aussi fraîches que s’il n’était parti que depuis peu. Pourquoi ? Je vais te le dire : parce que le temps s’est arrêté ici, peut-être un jour comme aujourd'hui. Il nous revient de sauvegarder cette page d'histoire. Pour mieux la comprendre. Pour partager notre découverte avec le reste de l'humanité. Peux-tu concevoir de plus noble tâche ?
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Le 15 novembre, après des journées d’un travail épuisant passées à relever la position exacte de chaque objet, à l’inventorier, à contrôler son déplacement et à organiser le travail des équipes de spécialistes dans Part délicat de la conservation, après des heures interminables vécues dans la crainte qu’un vol ou une dégradation volontaire ou involontaire ne viennent compromettre les résultats si péniblement acquis, la salle du trésor fut enfin débarrassée de la plupart des richesses contenues dans ses murs.
Il ne restait sur place que de menus objets dans un état si précaire qu'il fallait les traiter sur le terrain si on voulait éviter qu’ils ne se désagrègent au premier contact. Deux techniciens s'employaient à cette tâche sous la surveillance très attentive d'Akim-Al-Udaysat.
Les murs de la pièce étaient dépourvus d’ornementation picturale, ce qui était en soi assez surprenant. D'habitude, les bâtisseurs de l'Antiquité avaient coutume d'utiliser les supports muraux pour mettre en exergue les hauts faits de la vie du prince ou du roi qui avait ordonné la construction du sanctuaire, en l’occurrence Ahmosé. Souvent aussi, des fresques ou des effigies vouaient l’endroit au culte de quelque divinité tutélaire, mais la salle du trésor de Mastabah était curieusement austère. Gravé dans la roche vive, le sceau du puissant roi Hyksos constituait l’unique décor de la chambre.
C’est en analysant ce sceau que Liam remarqua le tracé d’une deuxième porte, scellée elle aussi. La pièce où ils avaient trouvé ce fantastique trésor n’était donc peut-être qu’une sorte d’annexe ou d’antichambre, précédant celle où devait reposer la dépouille du puissant roi Hyksos.
Le soir venu, les conjectures allèrent bon train, car rien ne pouvait confirmer l'exactitude de cette hypothèse. Et en raison du comportement singulier de ce roi défunt, sa chambre funéraire ne devait ressembler à aucune autre.
Le 16 novembre à sept heures du matin, après avoir soigneusement démantelé le sceau, ce fut d’une main fébrile que Liam localisa le linteau, gratta avec une petite truelle le plâtre qui recouvrait la porte et enleva la pierraille qui constituait la couche extérieure. Deux ouvriers durent ensuite lui prêter main forte pour démanteler les pierres qui bloquaient l’ouverture. Quand ils réussirent à percer un trou de la taille de la tête d’un homme, Liam passa une lampe de l’autre côté et s'extasia dans la contemplation de la chapelle funéraire. C’était une pièce d'une vingtaine de mètres carrés. Elle contenait un sarcophage posé sur un autel à moins de cinquante centimètres du mur opposé. L’or et les pierreries scintillaient.
Quand la porte fut entièrement démontée, Keifer et Liam se précipitèrent à l’intérieur du sanctuaire. L’Irlandais installa aussitôt un éclairage de fortune près de l’entrée et ils s’approchèrent du sarcophage avec respect, conscients qu’ils dérangeaient le repos d’Ahmosé, dont l’esprit planait au dessus du tombeau. Après un moment d’indécision, le professeur Keifer caressa du bout des doigts la surface polie de la pierre.
- De la quartzite. Un travail superbe, constata-t-il.
Sur le couvercle du sarcophage, qui était long de plus de deux mètres, Keifer trouva sans difficulté le sceau du monarque hyksos, gravé avec un raffinement exquis. Les côtés étaient décorés sobrement avec un bas-relief stylisé.
A vue d’oeil, le couvercle doit peser plus d’une demi- tonne. Il faudra que nous installions une poulie avec un treuil pour le faire glisser sans endommager les bords. Le treuil nous servira aussi pour dégager le cercueil qui doit se trouver à l'intérieur, dit Liam, son naturel pragmatique évaluant déjà les problèmes au fur et à mesure qu’ils se posaient.
A trois heures de l'après-midi, le couvercle fut retiré sans problème majeur. Tel que prévu, le sarcophage contenait un cercueil. Il était en bois doré, de forme anthropoïde, comme il était d'usage à cette époque de l'Antiquité. Un artiste au talent exceptionnel avait dessiné en polychromie le visage, le corps et les extrémités du monarque défunt avec un réalisme saisissant. Des joyaux incrustés dans le bois évoquaient les yeux d’Ahmosé, ainsi que les ornements de sa parure pour son dernier voyage au royaume des Morts. Le cercueil était muni de quatre poignées en or massif, deux de chaque côté, et le couvercle était fixé par six languettes en or, emboîtées dans l’épaisseur du bois.
Keifer, qui tenait par dessus tout à éviter qu’un tel chef- d’oeuvre puisse souffrir le moindre dégât, opta pour la solution qui lui paraissait offrir le maximum de garanties.
Demain à la première heure, nous soulèverons le premier cercueil, car il n’est pas impossible que nous en trouvions un deuxième à l’intérieur. Ensuite, nous le recouvrirons d'une enveloppe protectrice et l’amènerons tout de suite au labo. La dernière demeure d'Ahmosé sera traitée avec les égards dûs à son rang et à son mérite !
* * *
Deux jours plus tard, le professeur Keifer et Liam suivaient d’un oeil distrait le dégagement d'un petit éboulement sur la base du mur ouest de la chambre funéraire. Ce travail pouvait se dérouler maintenant sans danger pour les rares vestiges qui restaient encore dans la pièce. La roche était assez friable, et les deux terrassiers avaient les mains couvertes d'une fine poussière de couleur cendre. Ce fut précisément le contraste de cette couleur avec celle de la base du mur qui attira l'attention de l'Irlandais. La surface que les ouvriers étaient en train de nettoyer tranchait avec celle, nettement plus foncée, du restant de l'ouvrage. Liam écarta de la main le Saoudien qui travaillait le plus près et éclaira le mur avec sa lampe de poche.
Venez voir ça, professeur, dit-il bru

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