Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 18

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

qu'au sang et recula, surpris par la douleur.
Ça, tu vas me le payer, salope ! réussit à articuler Larbi en s’essuyant les lèvres avec le revers de la main.
Le coup de poing cueillit Irbit à la pommette, juste en dessous de l’oeil, et la jeune fille sentit son esprit vaciller. Son regard se voila et sa bouche devint pâteuse.
Youssouf se précipita vers son acolyte et le poussa en arrière d’une bourrade.
-Arrête ! Pourquoi l'as-tu frappé, imbécile !
Et alors, qu'elle crève ! répondit Larbi d’une voix saccadée.
Et si le Message ne se trouve pas sur elle, comment pourra-t-elle nous dire où il est caché, si tu l’envoies dans les pommes ?
Larbi recula de deux ou trois pas encore et son dos buta contre la porte, essoufflé.
D’accord, tu as raison, concéda-t-il. Mais, dès qu’elle sera réveillée, tu me laisseras faire. Elle est à moi, tu comprends ? Mais sois tranquille, je ne vais pas la tuer. Mais je t’assure que cette putain crachera son secret, où qu’elle l’ait gardé !
Quand Irbit reprit connaissance quelques minutes plus tard, elle essaya de se plier pour soulager quelque peu son corps endolori, mais ses bras et ses jambes étaient à nouveau fermement ligotés. Un liquide chaud coulait de son nez et lui glissait dans le cou.
Des mains inconnues étaient en train d'explorer le haut de ses cuisses. L'Elue se mit à pleurer en serrant les dents pour s’empêcher de crier. Elle aurait voulu être un homme pour avoir la force de défaire ses liens, d’arracher la corde qui la maintenait prisonnière et de se venger de ces brutes.
Elle éprouva un réel plaisir en pensant à ce châtiment imaginaire. Et, pour la première fois de sa vie, presque par inadvertance, Irbit connut un sentiment qui ne l'avait même pas effleuré jusqu’à là : la haine.
Une main fureteuse s’enhardit entre les plis secrets de son intimité. Le cri d’Irbit fit couler de nouvelles larmes sur ses joues déjà humides. Elle secoua son bassin de toutes ses forces pour se soustraire à cette caresse ignoble, mais Larbi la plaqua contre le matelas avec sa main libre. Elle fut obligée de subir l’odieux contact qui la révulsait en serrant les mâchoires jusqu’à se faire mal, puis se laissa gagner par une sorte de détachement. L’Elue subit l’affront sans bouger d’un millimètre, comme absente, roide.
Eh, Youssouf ! Cette petite pute est encore vierge ! fit
Larbi en ricanant. Elle a toujours vécu chez les roumis et ils ne
l’ont même pas touché. Ils sont tous pédés, je te l’avais bien dit !
La fouille se poursuivit. Chaque centimètre carré de sa peau fut exploré, le ventre, le dos, les oreilles et le nez, mais la recherche s’avéra vaine.
Elle n’a rien, Youssouf. A mon avis, son Message est
planqué ailleurs, ajouta Larbi, s’éloignant avec regret de sa
victime.
Son membre gonflé battait la chamade contre son pubis. Il essuya ses paumes moites contre sa tunique. Ses attouchements l’avaient excité et il n’arrivait pas à détacher son regard du sexe dévoilé de la jeune fille. En reculant, Larbi décida qu’il ne laisserai pas passer pareille aubaine. Son heure viendrait.
* * *
- Alors, Irbit, où l'as-tu mis, ce Message ?
Les paroles de Youssouf, prononcées sur un ton apaisant, ne suscitèrent aucune réaction. Irbit conserva son mutisme, soulagée certes d'avoir retrouvé la liberté de ses membres et, surtout, de pouvoir regarder en tous sens sans entraves, mais elle
restait néanmoins aussi méfiante.
Quelques minutes plus tôt, Youssouf avait chassé Larbi de la pièce. Il avait défait les liens de sa prisonnière avant de lui ôter le bandeau qui meurtrissait ses yeux. Ensuite, il était parti à la salle de bains et revint portant une bassine en plastique avec de l’eau chaude et un gant de toilette propre.
Avec beaucoup de douceur, il lava le visage ensanglanté de la jeune fille. Après, il lui permit de se rafraîchir en se retirant discrètement dans un coin de la pièce.
D’abord surprise, Irbit en profita pour étudier la physionomie de son geôlier. Et Youssouf, constata-t-elle avec étonnement, avait l'air de tout sauf d’un garde-chiourme.
De taille moyenne, Youssouf était âgé d’une trentaine d’années. Ses lunettes à monture d’écaille évoquaient davantage l'intellectuel ou l'idéaliste que le tortionnaire brutal. Incontestablement, il n’avait pas le physique de l'emploi.
Youssouf, quant à lui, comprenait aisément les réactions de la jeune fille. Une jeune fille qui se fait enlever, puis transporter dans des conditions odieuses, et qui subit ensuite un interrogatoire musclé, a toujours l'une ou l’autre réaction : soit elle craque, et alors elle avoue ses secrets, même ses pensées furtives, ou alors elle résiste. Et dans ce dernier cas, seule la persuasion avait une chance d’aboutir.
Malgré les coups reçus et la menace latente d'un viol ignoble, la petite avait résisté jusqu'à là avec un courage qui força son admiration. On lui avait pourtant affirmé qu'il s’agissait d’une enfant qui, ayant été protégée toute sa vie, serait une proie facile à manipuler. Et la seule chose qu’ils avaient obtenu jusqu'à présent était un silence obstiné ponctué de regards de haine.
- Voyons, Irbit, tu ne gagnes rien à te buter... Je voudrais juste te dire une chose - poursuivit-il en venant auprès d'elle. Je suis la seule personne ici en qui tu puisses avoir confiance. Tu as pu t’en rendre compte déjà que mes compagnons, à l’instar de Larbi, sont partisans de la force.
Youssouf s’arrêta un moment, le temps de lui laisser digérer ses paroles. Il s’assit sur le rebord du lit et fixa Irbit avec un soupçon de regret.
Je ne te veux aucun mal, Irbit. Mais il faut que tu comprennes bien que, tant que tu ne nous auras pas rendu le Message, nous ne te laisserons pas quitter cet endroit pour retrouver ton grand-père.
Mais que me voulez-vous, enfin ? De quel Message s’agit-il ? Je ne suis au courant de rien ! avoua Irbit d’une voix brisée.
Youssouf se leva avec une certaine lassitude. A son avis, ils se trouvaient dans une impasse. Larbi avait vainement exploré chaque centimètre carré du corps de la jeune fille. Le Message était caché ailleurs. Peut-être ici, peut-être à Paris ou dans n'importe quel endroit de leur parcours, mais l’Elue devait connaître son emplacement.
A moins que Cheik Yoran, avec sa ruse coutumière, n’ait volontairement déformé ses propos pour mieux les tromper, eux et tous les autres...
Ton grand-père a mis entre tes mains un secret qui ne lui appartenait pas. 11 nous l’a volé, et nous voulons récupérer notre patrimoine aujourd'hui, comprends-tu ?
De moins en moins, avoua-t-elle avec une moue très explicite. Je n’ai jamais rencontré mon grand-père. De toute ma vie. Mon père en parlait de temps en temps, mais mon grand-père est toujours resté pour moi un personnage imprécis, une image indéfinissable.
Youssouf décida de s’accorder une courte pause. Il servit du thé dans deux petits verres et en offrit un à la jeune fille, qui l’accepta volontiers.
Sa méthode était en train de s’avérer payante, car le dialogue était entamé. Le problème était de savoir si elle lui disait la vérité ou pas. Il ne pouvait compter que sur son intuition pour déceler la moindre faille. Si faille il y avait...
Mes camarades auront beaucoup de mal à te croire, Irbit. Personnellement, je voudrais te faire confiance, mais il faudrait que tu m’aides un peu, n’est-ce pas ? Nous savons depuis longtemps que le vieux Yoran a confié à ton père un secret qui concerne le peuple arabe. Et ton père était censé travailler sur ce sujet et le retourner à l’expéditeur le jour de tes dix-huit ans. Nos
renseignements sont très précis.
“C’est toi. l'Elue. qui as été choisie par ton grand-père pour transmettre ce Message. Comprends-tu ma

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