Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 30

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

mparez avec les autres tronçons du réseau, cette particularité est d’autant plus remarquable. Et si je pousse ma curiosité jusqu’au bout, j'aimerais savoir pour quelle raison la galerie principale, qui s’élargit à la jonction avec le tronçon plus étroit pour former une sorte de cavité ou de salle d'une taille respectable, continue ensuite pour s'arrêter près de la falaise.
“A la vue de ce croquis, et jusqu'à preuve du contraire, il n’est pas interdit de penser que les deux tronçons ne sont pas contemporains. Le dernier a été ajouté plus tard, mais dans quel but ? Et à quelle époque ?”
Keifer, qui avait remarqué depuis un moment que cheik Yoran suivait les explications avec un intérêt manifeste, décida qu’il était temps de mettre à contribution les-connaissances de ce vieux sage. Il se hasarda donc prudemment, en évitant de le brusquer :
Cheik Yoran, vos ancêtres habitent la région depuis plusieurs siècles. Que pensez-vous, franchement, des hypothèses que nous sommes en train de proposer ? Après tout, c’est de votre patrimoine culturel qu'il s'agit !
Yoran ferma les yeux une fraction de seconde, visiblement en proie à un conflit intérieur. Pour se donner le temps de la réflexion, il sirota une gorgée de son thé à la menthe. Il tenait le verre à la façon arabe, c'est à dire avec le pouce sur le rebord supérieur et l'index sous le pied du verre. Il le posa ensuite sur le plateau de cuivre et fixa Keifer par dessus la tête d'Irbit. qui était assise sur le sol à côté de son grand-père.
Moi aussi, je connaissais la légende d'Ahmosé. Etant enfant, je rêvais, comme beaucoup d'autres garçons de mon âge, aux merveilleux trésors enfouis sous la terre. Le problème était que personne ne pouvait savoir l’emplacement exact de l'ancienne cité. Pour nous, les nomades, Mastabah était un mythe similaire à celui des mines du roi Salomon ou aux richesses légendaires de la Reine de Sabah.
Keifer saisit la perche qui lui était involontairement tendue.
Si le royaume hyksos faisait partie de votre imaginaire enfantin, comment se fait-il, cheik Yoran, que vous n’ayez manifesté aucun empressement quand nous vous avons annoncé que nous allions entreprendre des fouilles ? J'avais même eu l’impression, et vous m'excuserez de mon erreur de jugement, que notre entreprise vous dérangeait en quelque sorte !
Yoran, toujours empreint de cette distance qu'il prenait par rapport aux choses, répondit, imperturbable :
Quand nous nous sommes connus, professeur Keifer, j'avais d’autres préoccupations en tête que vos idées de fouilles, dit-il en passant une main affectueuse et protectrice sur les cheveux de sa petite fille.
“Je vous ai fait part de mes réticences à votre projet. Vous n'en avez tenu aucun compte, et. maintenant, je suis obligé de me rendre à l’évidence. Quoique je fasse ou je dise, vous êtes déterminé à continuer. A quoi bon m'y opposerai-je ?
Keifer le regarda avec un sourire en demi-teinte. Cheik Yoran était un homme avisé et, dès le retour de sa petite fille, les “accidents” sur le chantier avaient cessé comme par enchantement. Yoran avait changé d’avis, c’était évident. Depuis qu’il avait planté sa jaïma dans l'enceinte du champ, sa seule présence galvanisait les terrassiers et les travaux se poursuivaient à un rythme soutenu.
Keifer décida de changer de sujet.
Dites-moi. cheik Yoran. à votre avis, quelle est la raison
qui a poussé les anciens occupants du site à s'enfouir ainsi, avec
pareil acharnement ?
Je n'en ai aucune idée, mais peut-être trouverez-vous la réponse en vous introduisant dans les souterrains. Quant à la forme des galeries, leur dessin géométrique me fait penser à un signe hiéroglyphique indéterminé. Il n’est pas impossible que les constructeurs aient voulu laisser un témoignage pour la postérité. A vous de le découvrir... En revanche, le dernier tronçon, celui que vous nous avez montré tout à l’heure, ne semble pas cadrer dans le contexte d’ensemble. Il s’agit probablement d’une vaine tentative pour atteindre la mer à travers la falaise. Sinon, je ne vois pas d'autre explication.
Keifer médita un instant aux propos qu’il venait d’entendre. La suggestion de Yoran pouvait effectivement expliquer le but poursuivi par ceux qui avaient creusé les galeries, mais elle ne répondait pas à la question posée par la régularité du tracé.
Croyez-vous, cheik Yoran, que nous ayons une chance de retrouver le trésor volé au cours du sac de Thèbes ?
Le vieil homme hocha gravement la tête et son visage s’éclaira d’une force intérieure qui débordait de sa personne. Keifer se sentit diminué face à cet homme usé, amaigri et couvert de rides, qui puisait au fond de son âme une énergie toute spirituelle.
Le trésor... Voilà enfin ce qui vous préoccupe, votre égoïste intérêt scientifique, répondit Yoran en se levant, la main de sa petite fille serrée dans la sienne. Dans la vie, il y a plusieurs sortes de trésors, professeur Keifer. Moi, j’ai retrouvé le mien, ajouta-t-il en enveloppant Irbit du regard. Comme le veut la légende, Mastabah renferme peut-être un trésor, mais ne soyez pas trop surpris si ce que vous découvrez un jour est loin de correspondre à votre attente !
Pourquoi dites-vous ça, cheik Yoran ?
Le vieil homme fit quelques pas vers la porte, les yeux à demi-clos, comme accablé de fatigue. Il se retourna lentement, donnant l’impression de faire un effort immense, et répondit :
Parce que, à mon humble avis, Messieurs les scientifiques, le véritable trésor de Mastabah n’est certainement pas celui auquel vous songez !
Chicago, 10 h 40 a.m.
La Cadillac limousine roula sur une large flaque et l’eau boueuse jaillit comme un rideau opaque des deux côtés du véhicule. La pluie tombait drue depuis la nuit dernière. Le reflet grisâtre sur le lac Michigan des tours du Down Town donnait l'impression qu'un cataclysme s’était abattu sur la ville. Loin du bord, la puissance régulière des vagues faisait onduler les façades de verre poli, déformant la structure rectiligne des buildings.
Costello, adossé sur le siège arrière de la limousine, laissa son imagination errer vers une image eschatologique : si les éléments qu’il avait en sa possession tendaient à se confirmer, d’autres villes, d'autres bâtiments comme ceux-là, aux allures de gigantesques navires croisant sur l’océan d’asphalte risquaient d'être frappés à mort par la foudre atomique.
L'analyste de la CIA imagina sans peine les décombres fumants s’étendant à l'infini. Il songea au paysage lunaire hallucinant plongé dans un silence de mort où seul se ferait entendre le sifflement du vent parmi les ruines, soulevant dans son passage un nuage de matière en suspension à l’odeur putride. Costello imagina sans difficulté la terrible sensation que doit éprouver un voyageur attaché à son siège pendant que son avion s’écrase.
Le conseiller Mac Fair alluma un cigare au parfum entêtant. Costello, qui ne fumait pas et avait une sainte horreur des miasmes dégagés par les autres, entrouvrit sa fenêtre d'une dizaine de centimètres. La pluie s’insinua aussitôt à travers l'interstice et il reçut sur la main quelques gouttes glaciales. Devant choisir entre la douche et l’asphyxie, il opta pour un compromis à la mesure de la situation, c’est-à-dire absurde : il remonta la vitre avec sa commande électrique, demanda au chauffeur de baisser la sienne et se força à respirer par la bouche.
Ils traversaient le quartier résidentiel d'Harwood Heights
par la John F. Kennedy Express Way, qui était bordée de villas cossues de briques rouges aux toits d’ardoise. Des petites pelouses individuelles non clôturées s’alignaient devant les résidences. Un relent bostonien flottait dans l'air, si ce n’était que le nord-ou

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