Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 43

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

placement avec soin. Il posa un genou à terre et s'adossa contre le mur pour améliorer la stabilité de son engin. Ensuite, il ferma les yeux, se força à ralentir le rythme de sa respiration et, l'ouïe aux aguets, il attendit.
Quelques minutes plus tard, il crut percevoir un bruit de pneus foulant le sable du désert. Le véhicule qui venait vers eux avait masqué ses phares avec les protections utilisées par l’armée pour rouler dans l’obscurité, protections qui ne laissaient passer qu’un faible trait de lumière. La voiture, auréolée d'une lumière verdâtre, se dessina bientôt dans le viseur thermique dont était équipé le garde.
Le jeune fantassin de Yoran compta mentalement jusqu'à trois avant de presser la détente. Le missile filoguidé de 160 mm A.C.C.P.7 Eryx s’envola vers sa proie, relayant sa faible charge initiale à distance de sécurité par l'allumage de son propulseur principal.
La Toyota à quatre roues motrices qui venait de s’engager dans le tunnel reçut le projectile de plein fouet. Une langue de feu d’une intensité lumineuse intolérable s’éleva comme une trombe calcinant le sable et la roche. Secouée par l'explosion dont l’effet était accru par l’exiguïté des lieux, la voiture bondit jusqu'au plafond et se désintégra en mille morceaux. Des plaques de métal tordu et des composants plastiques en fusion s’éparpillèrent le long du chemin sablé. Certains, où se mêlaient sans doute des débris humains, rebondirent contre les parois et retombèrent sur le sol, noyés dans un nuage de poussière et de fumée toxique.
Impressionné par les forces qu'il avait libérées en actionnant la détente, le jeune garde de Yoran sentit ses muscles se contracter tandis qu'un frisson glacé parcourait sa colonne vertébrale. Quand il réagit enfin, le sang s’était retiré de son visage glabre. Il interpella son camarade d'une voix hésitante :
- Notre maître avait raison de se méfier. Nous étions suivis depuis le départ du plateau. Mais ceux qui se trouvaient dans cet amas de tôles auront beaucoup de mal à transmettre à quelqu'un leur message !
Le couloir qu'ils avaient emprunté à partir de la porte dans le tunnel, long d'une bonne centaine de mètres, débouchait dans une grande salle rectangulaire. Le plafond était bas, et les toiles d’araignée qui pendaient le faisaient paraître plus bas encore. Des placards métalliques couverts de poussière s'alignaient le long des murs. La condensation de l'air dans cet espace confiné avait favorisé le développement d’une mousse lépreuse qui s’accrochait aux aspérités des parois. Une impression d'abandon se dégageait de cet endroit sinistre, comme si la main de l’homme qui l’avait bâti dans le passé avait décidé pour une raison inconnue de le reléguer dans l'oubli.
La pièce était fermée à l’autre bout par une double porte hermétiquement close. Le métal était terni par l’âge, mais l’humidité et les concrétions ne semblaient pas l'avoir entamé. Yoran s’avança d'un pas pressé et souleva une petite plaquette plastifiée qui se trouvait près de l’encadrement. A l'abri de la poussière, un clavier alphanumérique apparut alors faiblement éclairé par une veilleuse. Liam, qui suivait Yoran, n’eut que le temps de voir les doigts émaciés du vieil homme voleter sur les touches avec assurance.
Le code qu’il avait composé mit en route un mystérieux mécanisme dont le premier effet fut de réactiver la ventilation et l'électricité de la pièce. Quand les miasmes qui empuantissaient l'air se furent dissipés, la double porte étanche s’ouvrit par le 
milieu et libéra le passage vers un vaste hangar puissamment illuminé. Après le couloir moisi et la salle poussiéreuse qu'ils avaient traversés, cet endroit leur parut par sa propreté l’antichambre du bloc chirurgical d'un hôpital moderne.
Le contraste avec la salle précédente était saisissant. Ici, les murs étaient peints d’une couleur sable laqué, et le sol était recouvert d’une matière caoutchouteuse noire. Il n’y avait aucune trace de poussière ni d’empreintes de pas. A une cinquantaine de mètres de l’entrée, un petit tracteur électrique, derrière lequel étaient accrochés un wagonnet doté de sièges rudimentaires ainsi que deux plateformes pour le transport, était garé près d’un groupe électrogène.
Le hangar était divisé en plusieurs compartiments. Certains servaient d’entrepôts, d’autres abritaient des logements et les parties communes, mais l’absence de toute présence humaine rendait les lieux d’une froideur irréelle. Liam passa l’extrémité de ses doigts sur la surface polie et glacée d’un long comptoir qui se trouvait à proximité. Il la retira aussitôt, mal à l’aise, se demandant pour quelle mystérieuse raison Yoran Al-Jaza'ir avait décidé la construction d’un tel complexe.
Le Saoudien, comme s’il pressentait que le temps leur était compté, activa le départ de ses compagnons.
- Veuillez monter dans le wagonnet de tête, s’il vous plaît, se contenta-t-il de dire tandis que les gardes de son escorte personnelle chargeaient les lourdes caisses qu'ils avaient emportées sur les plateformes accrochées au tracteur.
Le professeur Keifer, qui commençait à trouver que l'attitude de Yoran à leur égard était pour le moins étrange, esquissa un mouvement à son intention, mais il arrêta son geste en chemin. Il avait déjà remarqué que le vieil homme livrait en permanence un combat sans pitié contre lui-même, un combat qui opposait la faiblesse de son corps amaigri d’ascète à sa détermination farouche d'atteindre un but d'une importance capitale. Les rides profondes qui soulignaient son visage étaient autant de traces de cette bataille dont l’issue paraissait maintenant très proche.
Résigné, le professeur Keifer s’installa dans le siège inconfortable du wagonnet à côté de Tafik. 11 sourit au garçon avec un petit air de conspirateur et lui tapota amicalement la jambe, geste qu’il regretta aussitôt. Comme d’habitude, la peau de Tafik était maculée de traces noirâtres dont l’Américain préférait ignorer l'origine. Liam s'assit en face d'eux, le regard dans le vague, et ne protesta même pas quand l'un des gardes de Yoran lui couvrit la tête avec une capuche noire.
- Pour votre protection, ainsi que pour la nôtre, mais ne vous inquiétez pas, vous ne risquez absolument rien et la route ne sera pas très longue, dit cheik Yoran, dont la voix leur arriva de la partie arrière du wagonnet.
Quelques secondes plus tard, le moteur électrique démarra avec un bruit amorti et le petit train s’ébranla vers la sortie du hangar. Une odeur persistante de gomme chauffée monta aux narines des passagers. Les pneus mordaient la surface caoutchouteuse qui recouvrait le sol, les emportant vers une destination qui leur réservait la plus extraordinaire des surprises.
H* Hc ^
Youssouf inspira une goulée d’air frais et cala ses coudes dans le sable mouvant de la dune. A l’aide de son viseur à infrarouge, il avait suivi la progression du convoi jusqu'à sa disparition dans le tunnel. Quand la voiture où avaient pris place les deux hommes de son équipe explosa dans une gerbe de feu, atteinte par un projectile, un début de sourire se dessina dans les traits de Youssouf que la fatigue marquait à peine. Après tout, la disparition de ces misérables n'attristerait personne. Ils n’étaient que des appâts, et le poisson y avait mordu sans flairer le piège. Youssouf décida de laisser un peu de mou avant de ferrer sa prise. Ses soupçons s’étaient confirmés. Maintenant, il avait la ferme intention de jouer la partie selon le rythme qu’il voulait lui imposer.
Saisissant l’émetteur-récepteur à ondes courtes d'une main ferme, il appuya sur le bouton d'appel pour établir le contact avec
l'équipe qu'il avait placé à l'autre

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