Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.
Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.
Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.
bout du tunnel.
Alors ? dit-il sèchement.
Toutes les voitures sont sorties, sauf une, mais les Américains n'étaient plus dans le convoi. Cheik Yoran non plus, ni sa fille, ni un certain nombre de gardes.
Parfait. La voiture manquante sortira probablement d’ici peu aussi. Ne la ratez surtout pas !
Vous les voulez vivants ?
Youssouf ne lui répondit pas tout de suite, hésitant à donner un ordre qui pourrait le compromettre ultérieurement. 11 choisit de présenter cette option sous un angle moins inhibiteur.
Ils ne nous sont plus d'aucune utilité. “Traitez-les” pour le mieux, mais je ne veux aucun bruit, et encore moins de bavures. Ensuite, regagnez notre point de réunion.
Il coupa la communication, désireux d’oublier ce rôle de commandement dans lequel il se sentait mal à l'aise. La violence innée de certains de ses frères de race l'écoeurait souvent. Il n’arrivait pas à partager leur goût du sang, qu'il considérait morbide. Mais, lors de son dernier entretien à Médine avec l’émissaire de l'Ayatollah, il avait exigé, et obtenu, une liberté de mouvements qui impliquait sa responsabilité dans des choix cruels. Le rôle de chaque partenaire avait été clairement défini. Dorénavant, il avait toute latitude pour opérer comme il l’entendait. Après une rude négociation, il avait la maîtrise des moyens et, plus particulièrement, il avait obtenu le choix des armes.
Youssouf changea la fréquence de son poste émetteur et appela le campement bédouin situé à plusieurs kilomètres du terrain des fouilles, où il avait établi ses quartiers. Ali, qui était en quelque sorte les yeux et les oreilles que l’Ayatollah avait délégué sur place, devait attendre sa communication avec impatience.
Le périmètre est dégagé, dit-il sans autre forme de préambule. Amène-moi le camion et fais venir une quarantaine d’hommes. Ah ! Il faudra prévoir des provisions et de l’eau pour quatre ou cinq jours, peut-être pour une semaine.
Entendu, Youssouf. Nous serons là dans deux ou trois
heures.
Prends ton temps. Je préfère attendre encore un peu, mais je tiens à ce que ton choix se porte sur les meilleurs éléments de l’équipe. Tu m'as compris ?
Ali, que l'inconfortable situation d'intermédiaire imposée par l'Ayatollah rendait mal à l’aise, répliqua avec une intonation vindicative : Sur quels critères dois-je me baser pour effectuer ce tri ?
Uniquement sur leur détermination, Ali. Il me faut des hommes prêts à prendre des risques et à se battre !
Il leur fallut un long moment pour choisir l'emplacement et mettre en place les deux barrages provisoires qui interdisaient l'accès au tunnel, en aval et en amont, à plusieurs kilomètres de distance. Heureusement, la circulation se réduisait sur cette piste à quelques bergers habitués à obéir et qui ne cherchaient ni à discuter ni à comprendre. Le camion de Youssouf avec son matériel avait été garé au milieu du tunnel. Il avait donné l'ordre à ses hommes en armes de se tenir éloignés des entrées du tunnel, et ils s’étaient exécutés aussitôt, dégageant le passage. Dans ce ramassis de désespérés, de fanatiques et de cupides, personne n'avait envie de se distinguer de ses camarades autrement que par son accoutrement, son poids ou sa taille. L'anonymat constituait la première mesure de sécurité, et Youssouf remarqua avec un certain soulagement que les hommes de son équipe étaient habitués à se fondre dans le paysage.
Youssouf sortit de sa caisse rembourrée un microgravimètre muni d'un long manche en métal, relié au poste de commande manuelle par un cordon électrique. L’appareil, dont le fonctionnement était basé sur les anomalies de la pesanteur dues à la variation de la densité du sol, provoqua des regards admiratifs et des commentaires intrigués.
Le sondage de la piste et des trottoirs ne donna aucun résultat, mais Youssouf s’attendait à cela et il n’était pas pressé. Il avait minutieusement chronométré le temps que la première partie du convoi de Yoran était restée dans le tunnel. Il calcula que, à une allure d’une trentaine de kilomètres à l’heure, un véhicule à moteur mettait une cinquantaine de secondes avant de ressortir de l’autre côté. Les voitures et le camion de Yoran avaient employé trois minutes et vingt-six secondes avant de se faire rattraper par la deuxième partie du convoi, celle-là même qu’ils avaient pris bon soin de distancer auparavant. Ils avaient disposé par conséquent d’une marge de deux minutes et trente-six secondes. Et ce laps de temps était largement suffisant pour sauter d'un camion et pour disparaître.
Le sondage du sol terminé, Youssouf commença à examiner les murs de chaque côté à partir du milieu du tunnel. Moins d’une demi-heure plus tard, l’aiguille de son microgravimètre oscilla fermement sur la droite de son cadran de contrôle. Il examina centimètre par centimètre la surface dégrossie de la pierre. La variation de densité n’était perceptible que dans un espace très précis, dont les dimensions correspondaient à celles d’une ouverture assez large pour permettre le passage d’un homme.
Youssouf entendit des pas derrière lui et se retourna avec une moue de dépit, essayant tant bien que mal de cacher sa contrariété. La complexité de ses analyses lui demandait une concentration totale. Ali. le collaborateur dévoué de l’Ayatollah, avait sans doute remarqué que ce supérieur hiérarchique aux allures d’étudiant attardé qu’on lui avait imposé venait de.trouver enfin ce qu’il était venu chercher.
D’abord agacé, Youssouf le détailla sans aucune complaisance, tout à fait conscient de la gêne qu’il allait provoquer. Il s’attarda sur le turban crasseux, sur les lèvres minces et humides ourlées de salive, puis il fixa ses petit yeux luisants de méchanceté. Il le défia du regard un instant, pour le décontenancer, mais parut déçu quand le sbire de l'Ayatollah esquissa un geste obséquieux qui pouvait passer pour une sorte de salut.
- Tu tombes bien. Ali, mentit-il. Fais-moi porter la caisse avec les explosifs. Ensuite, réunis tes hommes et dégagez le tunnel. Mettez-vous bien à l'abri derrière un rocher, parce que je ne peux pas vous garantir que la voûte résistera à l’explosion. Des pierres peuvent se détacher du plafond, ou un morceau de la paroi peut aussi bien s'écrouler.
Puis il adoucit le ton et poursuivit : Que personne ne bouge de son poste tant qu'il y aura de la fumée et de la poussière dans le tunnel. Il ne faut pas foncer en aveugles, mais tenez-vous prêts. De toute façon, nous contrôlons les ouvertures des deux côtés.
Ali hocha la tête cachant à peine son animosité. Il serra les mâchoires pour se dominer, ce qui eut pour effet d'amincir encore le trait fin de ses lèvres, tourna brusquement les talons et partit après une formule de politesse inintelligible. Les poings serrés de colère, il murmura entre ses dents que ce fils de chien était en train de prendre, un peu trop à son goût, l'habitude de le traiter comme un larbin !
A une distance raisonnable de là, le guetteur de Yoran rangea ses jumelles dans leur vieil étui en cuir. Sa bouche se fendit dans un large sourire. Une fois encore, le Cheik ne s’était pas trompé.
Le voyage à travers ce qui leur parut un dédale inextricable de galeries ne dura qu'une courte vingtaine de minutes. Comme il avait porté un masque tout au long du parcours, Liam était incapable de se prononcer quant à la direction qu’il avait suivie, car le petit train avait tourné à droite et à gauche à plusieurs reprises. La voie caoutchouteuse descendait par moments en pente douce et se relevait vers la fin à l’horizontale. Le train s'était arrêté trois fois. Quelqu’un était descendu du wagonnet pour manier les leviers qui commandaient l’ouverture d’autant de portes. La
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