Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.
Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.
Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.
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Liam l’accompagna au bord de la tranchée, mais une fois près du repaire qu'il avait laissé sur place, Keifer ne sembla prêter aucune attention aux explications que son disciple lui fournissait. Le vieil archéologue marmonnait entre ses dents, évaluant la profondeur et la distance de la fosse par rapport à un point connu de lui seul. Il semblait en proie à une forte excitation. Quand il eut terminé ses mystérieux calculs, il se tourna vers Liam avec sa vivacité coutumière :
Allons-nous-en d'ici. Il faut absolument que je te montre quelque chose, dit-il en descendant le petit talus pour regagner sa jeep. La fougue de Keifer avait, comme d'habitude, éveillé la curiosité de Liam sans nullement la satisfaire.
L'installation du camp de base avait été faite pour durer. Le bâtiment principal était un long hangar construit en éléments préfabriqués qui s'imbriquaient parfaitement entre eux afin d’assurer l'étanchéité indispensable au bon fonctionnement des ordinateurs, ainsi que de l’équipement sensible redoutant la chaleur, la poussière ou le sable.
L'intérieur du hangar, climatisé, était séparé en plusieurs pièces, abritant pour la plupart les bureaux de l’équipe de chercheurs qui avait accompagné Keifer. Celle du fond, de loin la plus vaste de toutes, faisait office de salle de réunion et abritait aussi la mémoire centrale des ordinateurs. Un moniteur de télévision occupait l'angle ouest de la pièce. Il était connecté au serveur informatique, dont la console reliée à la mémoire centrale se trouvait en peu en retrait. Des agrandissements photographiques étaient collés sur les murs, ainsi que des cartes, des croquis, des plans représentant les divers chantiers et un grand nombre de notes manuscrites afférentes que les chercheurs avaient fixées un peu partout.
Quand Liam et l'inconditionnel Tafik arrivèrent sur place, Keifer les attendait déjà en compagnie de Yoran et de sa petite fille, qu'il avait pris en passant dans sa jeep avant de regagner le camp de base. Ils étaient assis côte à côte sur des chaises pliantes et dégustaient un thé à la menthe brûlant.
Depuis le retour d'Irbit, Yoran paraissait libéré d'un lourd fardeau. Il se déridait de temps en temps et prenait part parfois à certaines activités du camp, même s’il avait de fréquentes absences, mais ne se livrait jamais entièrement. Il gardait en permanence une attitude un peu figée, une distance par rapport aux choses et aux gens, comme s’il attendait un événement qui tardait à venir ou comme s’il hésitait à révéler un fait d'une importance capitale.
Intrigué par son comportement, Keifer avait fait tout son possible pour se rapprocher de ce personnage solitaire. Comme ils
avaient sensiblement le même âge et cette sorte de détachement acquis durant toute une vie consacrée à un but exclusif et accapareur, leur connivence s’était affermie. Ils se respectaient mutuellement, à défaut de se comprendre.
Tafik s’était installé par terre près de Yoran avec sa nonchalance coutumière. Il enregistrait tout ce qu’il entendait avec une inépuisable soif de savoir.
Keifer brancha la souris de l’ordinateur et fit apparaître sur l’écran de télévision le graphique représentant le plan d'ensemble de la cité de Mastabah. La disposition originelle des principaux bâtiments du site figurait en orange vif sur fond bleu marine, et le contraste était saisissant.
Il amena ensuite la flèche de la souris jusqu’à un point situé à l’entrée principale du palais d’Ahmosé.
- Tu vois, Liam ? Le coffret que vous venez de trouver était enterré juste ici, n’est-ce pas ? Cela ne prouve rien, je ne te le fais pas dire, mais je vous rappelle que, dans de nombreux cas, des chercheurs ont découvert les tombeaux des gardiens à côté de la porte qu'ils étaient censés protéger. Et si dans les prochaines heures l’équipe qui est en train de déblayer les strates entourant l’emplacement du coffret mettait à jour d'autres objets, une sépulture ou des ossements par exemple, leur datation au Carbone 14 et les analyses nous permettra de vérifier cette hypothèse.
"Maintenant, je vais vous montrer quelque chose qui. j'en suis persuadé, a de bonnes chances de vous couper.le souffle !” fit Keifer en cliquant à nouveau pour passer à l'image suivante.
En se basant sur les données fournies par le sondage radar effectué sur l’emplacement du palais, le puissant logiciel informatique avait conçu une vue imaginaire des cavités enfouies sous les dalles de marbre du rez-de-chaussée. Le croquis qu’ils avaient à l’écran était un réseau inextricable de galeries de toutes sortes, de puits d’aération maintenant bouchés, de cheminées aveugles, de couloirs communicants et de fosses profondes.
Ahmosé avait fait creuser un labyrinthe impénétrable et, malgré l’efficacité des moyens ultramodernes utilisés pour en percer les secrets, la technologie demeurait incapable de définir laquelle, parmi tant d'autres, était la galerie principale, et encore
moins de déceler les innombrables pièges placés par le roi hyksos.
Le professeur Keifer. qui avait laissé quelques instants de répit à ses compagnons pour qu'ils puissent s’imprégner du croquis affiché à l’écran, poursuivit son exposé :
Les colonnes en pierre de taille, les dalles de marbre, les ornements du fronton, les soubassements, en un mot. tous les éléments du palais que nous avons mis à jour correspondent incontestablement à la période qui nous intéresse. L'influence artistique égyptienne est visible partout, mais nous n'avons toujours pas trouvé la preuve de la présence Hyksos sur le sol de Mastabah.
“Regardez bien les galeries qui s’étendent en sous-sol. dit-il en balayant le réseau souterrain de long en large avec la flèche informatique. Akim-Al-Udaysat. l'éminent égyptologue, nous a confirmé que le principe architectural suivi ici par les constructeurs est pratiquement identique à celui retrouvé dans divers temples de Basse-Egypte de la même époque.
Nous le savions déjà, bien sûr. mais maintenant nous en avons acquis la certitude. Tout semblerait correspondre, sauf que, dans le cas qui nous occupe, la complexité du réseau dépasse celle des réalisations déjà connues.
La question que je me pose est la suivante, parce qu'il y a, de toute évidence, quelque chose qui nous échappe : mis à part le nombre et la taille des galeries, quelle est la particularité fondamentale qui fait que le palais d'Ahmosé soit un endroit unique en son genre ? Alors, Liam. dis-nous quel est ton avis là- dessus. J'espère que tu nous apporteras une hypothèse intéressante."
L'Irlandais, qui se souvenait très bien de la morphologie des galeries bâties dans les pyramides et de l’écheveau souterrain du magnifique temple de Karnak, compara mentalement les caractéristiques des unes et des autres avec le réseau en sous-sol du palais d'Ahmosé.
Il prit à son tour la souris pour déplacer la fléchette, et répondit :
La seule remarque qui me vient à l'esprit serait plutôt une déduction logique que de l'observation scientifique pure. Regardez cette galerie-là, celle qui se trouve le plus à l'ouest et qui est la plus longue de toutes, fit-il en cliquant la souris sur un point très éloigné de l'entrée principale.
Le réseau, à cet endroit, était réduit à une seule voie qui s’enfonçait profondément sous terre et n'aboutissait nulle part. Le dernier tronçon, après avoir traversé l'enceinte de la ville, s'arrêtait brusquement à moins de cent mètres de la falaise qui surplombait la Mer Rouge.
Vous constaterez comme moi que, à partir d'ici, le diamètre de la galerie se réduit de moitié. En plus, le dernier tracé
, le plus étroit, est d'une régularité parfaite. Il franchit tous les obstacles sans dévier d’un millimètre de sa route. Si vous le co
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