Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 27

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.


ʲation extrêmement précise. Et nous le ferons à notre manière.
Youssouf ne réfléchit qu'un instant. Il savait que l'Ayatollah avait besoin d'un allié solide pour débroussailler le chemin et pour entrebâiller la porte. Après, son maître canaliserait la poussée des foules.
Admettons, concéda-t-il, persuadé de la précarité de cette alliance. Quels sont les moyens dont vous avez parlé ?
Salah le fixa une nouvelle fois, avec ce regard de mangouste à l’affût qui avait le pouvoir de le paralyser.
Le seul, l'unique moyen qui fera plier l'Infidèle... Jouer sur sa peur maladive de perdre une suprématie qu'il considère comme une sorte de droit divin accordé à l'occident pour l'éternité. Je ne peux pas être plus explicite, mais Gazemi doit nous faire confiance. Bientôt, l'Islam disposera d'une arme absolue. Et à ce moment-là... annonça Salah, qui savait que, religieux ou pas, ses chefs ne renonceraient jamais au pouvoir obtenu après la victoire.
- A ce moment-là, termina Youssouf à sa place, le peuple d'islam essaimera dans les vertes prairies où le lait et le miel coulent à flots, sous la bannière d'Allah, le seul Dieu véritable, précisa-t-il en donnant tout le poids possible à ses paroles.
Ainsi s’acheva l'entretien. La takaya fut à l'origine d'un marché de dupes et d'un pacte visant à précipiter la fin du déséquilibre politique entre les croyants et les mécréants, entre les forts et les faibles.
Plateau de Mastabah, deux semaines plus tard
Depuis son arrivée au campement installé au milieu des fouilles, le jeune Tafik avait découvert émerveillé un monde nouveau qui s’ouvrait à lui. C’était un monde étrange, différent en bien des façons de celui qu'il avait connu dans les champs pétroliers ou dans la banlieue de Médine.
Trois sortes de personnes travaillaient sur le site. En premier lieu les ouvriers, de loin les plus nombreux, en majorité d'origine du sud-est du pays ou yéménite. Tafik adorait courir d'un groupe à l'autre, écoutant le bavardage des femmes ou les récits d'aventures, réelles ou imaginaires, que les terrassiers avaient l'habitude de raconter le soir au coin du feu.
Les artisans ou spécialistes saoudiens dans les domaines les plus divers formaient une caste à part. En dehors des contacts indispensables au fonctionnement du chantier, ils quittaient le chantier à la tombée du jour et regagnaient la ville où les attendaient leurs familles. C’était des gens sobres, de noble allure et au regard serein. Tafik ne se lassait pas d'admirer l’habilité de leurs doigts quand ils façonnaient un panier, moulaient une poterie ou nettoyaient un objet exhumé de sa gangue de terre.
Mais ceux qui le fascinaient le plus, et qu’il suivait comme un animal familier chaque fois qu'une occasion le lui permettait, c’étaient les étrangers venus d’Europe et d’Amérique. Tafik aimait se tenir à deux ou trois mètres de celui qu’il avait choisi pour la journée. Il l’accompagnait dans ses déplacements et écoutait ses explications avec la soif du nomade qui trempe ses lèvres dans l’eau fraîche d'un puits. 11 admirait aussi la précision de leurs gestes et la variété de leurs mimiques, qu’il trouvait enfantines et souvent drôles.
Tafik avait découvert que le monde pouvait être autre chose qu’une lutte perpétuelle pour gagner sa pitance ou une guerre ininterrompue entre les bandes rivales, toujours sur le qui-vive
pour éviter les taloches, les coups de bâton ou pour esquiver une pierre lancée avec malveillance. Sur le site, les gens vivaient en paix, sans se chercher querelle. Ils semblaient contents de leur sort, car la nourriture était abondante et saine, et les étrangers dirigeaient les équipes avec compétence. Ils n'avaient nul besoin d'user d'une autorité que personne ne contestait. Le jeudi soir, avant le jour de repos hebdomadaire, ils incitaient les contremaîtres à organiser des veillées où chaque travailleur laissait libre cours à sa fantaisie.
Cela ne faisait que peu de jours qu’il vivait parmi ses nouveaux compagnons, et pourtant Tafik avait l'impression que son séjour durait depuis des mois. Il se sentait admis, il pouvait traverser le chantier s’arrêtant ci ou là, l'esprit ouvert pour assimiler les merveilles qui s'offraient à son regard insatiable, conscient qu'il vivait un moment privilégié. Même si le rêve devait s’arrêter demain, la richesse de ces sensations lui appartiendrait à jamais.
George Linnemann avait été conduit à l'hôpital dès son arrivée au camp. Sa blessure n'était pas très grave, mais le médecin avait préféré s’entourer de précautions. Son patron absent, Tafik se demandait combien de temps il pourrait rester encore dans le campement avant d'être obligé de regagner Medine. Pour l’instant, il disposait d’un lit de camp dans la jaïma de Liam, et était même admis à la table du professeur Keifer.
Cheik Yoran avait fait dresser une tente de belles proportions près du mur d'enceinte. Il s'était installé sur le chantier avec sa petite fille. Tafik avait remarqué que l'Irlandais n’était pas insensible au charme de la belle Saoudienne qu'ils avaient ramenée de Médine.
Liam avait amené Tafik dans sa jeep chez Yoran à plusieurs reprises. Tafik s’asseyait sagement sur la banquette arrière et se cramponnait aux montants latéraux de toutes ses forces. Le véhicule ballottait sur le terrain inégal et son corps léger avait tendance à s'envoler à chaque secousse.
La jeune Irbit avait repris à contrecoeur les moeurs strictes imposées par la religion musulmane. De ce fait, elle était accompagnée en toutes occasions par une ou deux personnes de son sexe, silhouettes uniformes recouvertes de tissu des pieds à la tête. Quand Irbit et Liam se trouvaient face à face, sous la surveillance attentive des ayas. Tafik aimait observer à la dérobée le comportement du couple, attentif au moindre de leurs gestes. Liam se tenait très raide, un oeil fixé sur le charmant profil de la jeune fille. Il parlait peu, se contentant de sa seule présence. Parfois, ils se regardaient et riaient aux éclats tous les deux comme des imbéciles. Tafik riait aussi, sans savoir pourquoi, et le temps s’écoulait ainsi jusqu’à l’apparition de Yoran, dont la venue mettait invariablement fin à ce sortilège.
Les adultes discutaient ensuite à propos du déroulement des fouilles. Liam partait à regret, insatisfait. Leur tournée se poursuivait alors, entrecoupée d’arrêts aux endroits où les terrassiers creusaient le sol ou tamisaient le déblais afin de récupérer des fragments de céramique.
Depuis que la chèvre avait permis de mettre à jour le premier bloc de marbre, la colline avait été déblayée à la pioche et à la pelle. La pierraille et la terre déjà passée au crible étaient transportées à dos d’homme dans des paniers jusqu’aux bennes, que des wagonnets sur rails déchargeaient ensuite à l'extérieur du champ.
En raison de la nature du terrain, le professeur Keifer avait retenu quatre techniques complémentaires afin de délimiter avec exactitude l’emplacement de l’ancien palais d'Ahmosé.
La première était le magnétomètre à protons, dont la sensibilité permettait de différencier les types de roches et de mesurer le champ magnétique terrestre dans un endroit donné. Le radar constituait aussi une excellente méthode d’investigation, car comme la pénétration de l’onde radar dans le sol pouvait dépasser une dizaine de mètres, les enregistrements effectués révélaient parfois l'existence de galeries souterraines encore creuses ou de fondations anciennes. L’électromagnétisme et les sondages électriques mesuraient les variations de résistivité apparente d’un 
site, ce qui déterminait la succession des strates dans lesquelles étaient éventuellement enfouis les vestiges.
Après trois journées entièrement c

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