Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 31

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

est de Chicago avait su préserver quelques unes de ses nombreuses forêts. Des arbres centenaires entouraient les lieux bâtis. Les parcs semblaient tolérer l’intrusion des hommes malgré les entailles du progrès, comme si une entente tacite eut été conclue entre ces antagonistes de jadis. Des écureuils, heureux et libres, sautillaient dans les branches et se hasardaient tout près des maisons pour se mettre à l’abri de l’orage, conscients à leur façon du compromis trouvé.
Passez-moi encore ces photos, Costello, fit Mac Fair avec un raclement de gorge.
L’analyste de la CIA se dit que si son voisin continuait à s’empoisonner avec ses cigares cubains, Lidel Castro, qui avait déjà pris son argent, finirait aussi par avoir sa peau.
Andy ouvrit la petite mallette qu’il portait sur les genoux et tendit au Conseiller l’enveloppe kraft qu’il avait décachetée quelques instants auparavant.
La qualité des clichés transmis par fax était médiocre, mais les caractéristiques des visages hâves n’avaient que peu d’importance. En revanche, le texte dactylographié qui accompagnait chaque photographie était éloquent. Et Mac Fair, en le lisant, avait du ma! à accepter le danger implicite.
HALAB, Boufeldja, lut le Conseiller à haute voix. Né à Palmyre (Syrie) en 1942. Diplômé de physique nucléaire à l’Université de Berkeley (USA) en 1973. Dirige le centre de recherches de l'Université de Damas. Marié, trois enfants.
La photographie de ce dossier montrait un personnage au visage anguleux, avec un front évasé vers le haut. Il avait une petite bouche pulpeuse, presque féminine, et sa lèvre supérieure s’ornait d’une moustache très fine, comme un trait tiré au crayon.
La photo qui suivait était beaucoup plus nette que la précédente.
ZILLAFI, Samir, né à Benghazi (Libye) en 1954. Doctorat en physique-chimie à Cambridge en 1982. A travaillé pendant quatre années sur le Diproton au laboratoire d'Argonne (Michigan). Célibataire. Homosexuel.
Samir Zillah avait une tête anodine. Sauf que le pli amer de sa bouche conférait à son visage une expression aigrie, peut-être déçue.
KARBALA, Amar, né à Kirkuk (Irak) en 1949. Diplômé de l’Université de Columbia (USA) en 1983, où il fit une thèse très remarquée sur le stockage du plutonium. Marié, quatre enfants.
Karbala avait un visage rondouillard, aux yeux rieurs. Il portait une moustache très fournie qui dépassait largement sa lèvre inférieure.
ANZALI, Hassan, né à Shiraz (Iran) en 1950. Militaire et artilleur de carrière. A fait un long passage à Oberhoffen (Haguenau, France) en 1989. Il a le grade de colonel dans l’armée iranienne. Célibataire.
Le Persan avait un visage émacié, les traits rudes et la mâchoire inférieure proéminente. Il semblait être un homme obstiné, sévère et inquiétant.
Mac Fair déposa les dossiers sur l’enveloppe kraft et se tourna vers Costello, visiblement préoccupé.
Quelles sont vos conclusions, Costello ?
L’analyste baissa les yeux vers la moquette grise collée au plancher du véhicule. Il avait obtenu que le Conseiller consente à se déplacer à Chicago, ce qui était en soi une première victoire pleine de promesses.
Avant de conclure quoi que ce soit, je voudrais compléter quelque peu les informations que vous venez de voir, dit-il sur un ton neutre.
“Prenons d’abord Boufeldja Halab, le Syrien. Pendant les deux dernières années, il a réussi en laboratoire plusieurs expériences de bombardement d'un noyau d’atome d’uranium 235 par un neutron, ce qui constitue le fondement de l’énergie atomique, qu’elle soit civile ou militaire.
Samir Zillah. le Libyen, travaille de son côté avec acharnement sur l’énergie dégagée par la collision de deux protons, qui est de 2.260 millions d’électrons-volts. Une bagatelle !”
Costello parlait avec sincérité et passion, comme un avocat
plaidant sa cause devant un juré défavorable.
Malgré l’interdiction formelle des Nations Unies, Amar Karbala est en train d'effectuer à Bagdad des essais de stockage du plutonium sous forme d'oxydes, et je crois savoir qu’il ne fait pas fausse route.
“Quant à Hassan Anzali. comme par hasard, dès la fin de son stage en France, son pays a commandé à Paris plusieurs batteries de missiles Hadès dotés de stratoréacteurs et de pilotage automatique.”
Sa voix avait une causticité qui ne lui ressemblait pas quand il poursuivit :
Je ne veux en aucun cas être pessimiste, mais ces quatre spécialistes de très haut vol sont parfaitement capables, à eux seuls, de concevoir l'infrastructure technico-industrielle d’un projet d'arme atomique ultramodeme, avec lanceur inclus.
Il enchaîna, tendant un doigt vers le Conseiller comme un dard tiré de son fourreau :
Et il se trouve que ces personnages étaient tous présents au cours de la réunion qui a eu lieu à Damas il y a quelques jours. J'ai personnellement horreur des coïncidences, surtout quand il s'agit d'un danger potentiel d'une telle ampleur. A la CIA, nous sommes payés justement pour nous en méfier !
Mac Fair se souvint que la dernière fois qu'ils s’étaient rencontrés, son attitude à l'égard de Costello avait été légèrement cavalière. Il lui en savait gré de ne pas en faire état.
Je suppose que vous avez fait suivre ces hommes... En tout cas, la diversité de vos sources d’information vous permet de les connaître bien mieux que moi, admit-il avec une pointe d'agacement. Que devrions-nous faire, à votre avis, pour écarter cette menace ?
L'écarter ? Franchement, je pense qu'il est trop tard pour ça. La contrer, peut-être. Trouver une parade, certainement.
Alors ?
Costello chercha ses mots d'un air dubitatif, prit une longue inspiration et considéra son interlocuteur avec circonspection. Il savait que sa réponse serait décortiquée par les analystes du Conseiller, qui établiraient des conclusions strictement en fonction
de ses paroles. Par conséquent, il n’avait pas droit à l’erreur.
Je me permettrais de vous recommander d’agir avec la plus extrême prudence. De calculer nos mouvements avec la précision de l’araignée tissant sa toile. D’abord, il est indispensable d’établir une hypothèse de travail qui, à mon avis, pourrait être la suivante : quatre spécialistes parmi les meilleurs du Moyen-Orient, ayant bénéficié tous d’une formation technologique occidentale, ont joint leurs efforts dans le but éventuel de construire la première bombe atomique arabe. Etes-vous d'accord avec cette prémisse ?
Mac Fair, la main sur la bouche, hocha lentement la tête.
Je crois que oui, dit-il sans grande conviction. Il se rendait compte que Costello voulait qu’il participe à la réflexion, qu'il se compromette.
Parfait. Si nous admettons que le but de la réunion de Damas était de mettre sur pied une structure permettant d’aboutir à la mise en chantier de la bombe, la question que nous devons nous poser ensuite émanerait de la précédente : pour le compte de qui travaillent-ils ? D’un pays ? De plusieurs pays ? D'un organisme nouveau, inconnu et indépendant ? Nous avons le choix parmi l’une de ces trois options.
Lorsque Mac Fair inhala une bouffée de son cigare, ses yeux, ronds comme ceux d’un hamster, scintillèrent à la lueur de la braise. Il décida de lui retourner sa question.
Les trois possibilités méritent d’être prises en considération, mais je suis persuadé que, grâce à vos renseignements, vous avez déjà pris votre parti, n'est-ce pas ?
Costello scruta le Conseiller d’un air méfiant.
Procédons par élimination, voulez-vous ? Un seul pays, il est hors de question. Les quatre puissances qui étaient représentées à la réunion de Damas essayent depuis longtemps, et chacune de leur côté, de mener ce projet à terme. Aucune n’a abouti jusqu’à présent. Les difficultés s

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