Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 1

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.


m considéra le trou béant et s’approcha du bord. Il fouilla le sol avec sa pioche et souleva un tourbillon de sable et de concrétions.
Ça m’a tout l’air d’une couche superposée de sédiments, mais il faudrait descendre jusqu’au fond pour y voir plus clair. Attends un moment, je vais prendre ma lampe.
Fais attention, Liam, fit Irbit avec une pointe d’inquiétude. Les parois sont fragiles et l’éboulement peut reprendre à n’importe quel moment.
Ne t’inquiète pas. Je vais juste explorer la partie supérieure. Eclaire-moi toi aussi. On ne sera pas de trop à deux
pour donner un peu de lumière à ce trou béant.
Liam s’enfonça la tête la première et descendit dans le gouffre avec des gestes souples en évitant de frôler le sable. Le moindre geste brusque rendrait impossible la poursuite de son exploration.
Il remonta cinq ou six minutes plus tard. Dans sa main, il exhibait fièrement une variété d’amphore en terre cuite munie de deux anses, avec un col étroit qui s'évasait sur ses flancs ventrus.
11 y en a plein là-dedans ! lança-t-il d'un ton enthousiaste.
Irbit nagea jusqu’à lui et caressa l’amphore de sa main
gantée. Son état général de conservation était excellent.
Il nous faudrait une suceuse, un détecteur électromagnétique et du matériel de terrassement pour étayer le cratère, dit-il. son regard perdu dans celui de la jeune fille. C’était la première véritable découverte qu'ils faisaient ensemble, et elle était d’importance. Si l'endroit confirmait les possibilités qu’il soupçonnait, ils avaient mis la main sur des vestiges archéologiques prouvant que l’occupation de Mastabah avait eu une durée plus longue que celle qu'ils avaient cru jusque-là, car l’amphore était de facture hellénique. Akim Al-Udaysat et le professeur Keifer allaient être enchantés.
Ils retournèrent vers le petit sous-marin de liaison en nageant à toute la vitesse de leurs palmes. Chaque jour qui passait, l’ancien port de Mastabah corroborait leurs espérances.
* * *
Yoran avait fini par révéler à sa petite fille que son père avait disparu en essayant d’éloigner d’Irbit un groupuscule terroriste qui avait réussi à retrouver la trace de l’Elue. Sa mère avait été séquestrée des années plus tôt par un groupe similaire. Les ravisseurs avaient tenté de faire pression sur Yoran l’ancien pour l’obliger à consentir à une alliance entre sa famille, par le biais d" Irbit, et une dynastie de mollahs Iraniens.
Ayant refusé ce compromis qu’il considérait comme inacceptable, Yoran et sa famille étaient en droit de supposer que la mère d’Irbit avait été sacrifiée sur l'autel d’une cause qui pouvait paraître anachronique.
Le jeune Irlandais, qui ne sous-estimait pas l’importance de sa mission, avait par ailleurs un autre sujet de recherches tout aussi passionnant que le premier : l’étude approfondie de la personnalité d’Irbit Al-Jazaïr.
Irbit représentait une dualité, un conflit entre les cultures apparemment en constante contradiction. Elle avait reçu une éducation occidentalisée mais, aussitôt les portes de l’école franchies, elle s’était trouvée plongée dans un monde d’hommes où les femmes ne jouaient qu’un rôle secondaire. Irbit n’avait jamais eu l'occasion de se faire des amis véritables. Liam trouvait cette naïveté fascinante.
Parfois, leurs discussions prenaient une tournure quelque peu surréaliste. Pour lui, cette rencontre de deux cultures était aussi hermétique que son antagonisme fervent envers les Anglais l’était pour elle.
Quand Irbit doutait, elle venait se blottir contre lui, les lèvres doucement appuyées contre son cou. Sa voix était alors si plaintive que Liam la prenait dans ses bras et l’embrassait avec une violence soudaine, comme s'il eut voulu l'arracher à ses vieux démons par la seule force de sa volonté.
Elle hésita maintes fois et tenta de résister à cette passion qui la privait de ressources, d'éteindre ce feu qui venait de l’intérieur et qui la jetait dans les bras de Liam, de dominer cette ardeur que seules apaisaient ses caresses. A bout d'arguments, elle prit la meilleure solution qui s’imposait dans pareil cas : la nature, si elle devait parler, le ferait d'elle-même.
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Les services secrets américains étaient conscients que certains ayatollahs iraniens, surtout Gazemi, de loin le plus virulent, n’avaient nullement l’intention de baisser les bras dans leur combat pour l’expansion de l’Islam. D’ailleurs, l’instabilité politique du monde se prêtait admirablement à leur stratégie.
La collaboration de certains prisonniers s’avéra déterminante pour obtenir des renseignements concernant la localisation des quatre scientifiques qui avaient utilisé leur savoir pour la mise au point de la bombe. Halab Boufeldja, Samir Zillah, Amar Karbala et Hassan Anzali furent arrêtés discrètement dans leurs pays d’origine par les services omniprésents d’Andy Costello, conduits en Amérique pour y être interrogés et, au besoin, persuadés amicalement de coopérer.
L’Ayatollah Gazemi ne fut pas inquiété. Il était l’instigateur et le principal responsable du complot, mais le Conseiller Mac Fair estima que son échec retentissant portait en soi les germes de sa propre punition. Israël était sorti indemne, et les descendants de la lignée de Gazemi ne souilleraient d'aucune manière le ventre de l’Elue. Des indiscrétions savamment dirigées se chargèrent de lui apprendre par ailleurs que, pour prétendre féconder une jeune vierge de la famille Al-Jazaïr, il lui faudrait attendre la prochaine génération. Gazemi rumina des semaines durant ses pensées moroses. Son rêve de réaliser la prophétie auquel il avait consacré dix-huit années de sa vie demeurerait à jamais une simple vue de l’esprit.
Les mêmes confidents bien intentionnés se firent un plaisir de mettre au courant par le détail les principaux représentants du clergé chiite des moyens employés par Gazemi pour tenter d’instaurer la primauté de sa lignée sur celles des autres grandes familles. L'Orient sévit alors avec son sens coutumier de la démesure.
La punition de ses pairs ne vint qu’au bout de neuf mois. Chargée de symboles, elle prit le temps d’une gestation pour donner vie à la manifestation de sa justice. Gazemi dut se rendre à la ville sainte de Qom, où il fut confié aux bons soins de l’Imam Montezari, un fou de Dieu au regard fiévreux réputé pour la sainteté de son âme.
L’Ayatollah Gazemi n’arriva jamais à la ville de Qom. Il disparut au cours du voyage dans l'aridité du désert, et son nom fut promptement effacé des archives du clergé. Son souvenir s’estompa bientôt des mémoires, comme si son passage n’eut laissé d’autre trace que celle d’une mauvaise plaie que l’on préfère oublier.

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