Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 25

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

é 36.
“QUATRE PERSONNES GAGNERONT LE BORD DU SEVERODVINSK. LE CAMARADE VANIA VOUS REMETTRA UN DOCUMENT CONTENANT VOTRE NOUVELLE ORDRE DE MISSION.”
Le dénommé “Vania" fit un pas vers Arkady et lui remit un pli scellé qu'il venait d’extraire d'une pochette.
C’était un homme anguleux, aux oreilles un peu décollées, et on sentait en lui cette aura propre aux personnes habituées à commander. Par la décontraction de ses gestes, Arkady devina sans peine qu’il avait affaire à un officier de carrière, sans doute l’un de ces marginaux que le Commandement avait coutume d’employer pour animer des réseaux en territoire hostile.
Arkady donna des instructions afin que le quatuor fut installé dans les meilleures conditions, ce qui à bord d’un sous- marin nucléaire d'attaque ne voulait pas dire grand chose, et se retira dans l’isolement relatif de sa cabine pour prendre connaissance de ses nouvelles instructions.
Une fois le pli décacheté, il en parcourut le contenu et essaya de comprendre le sens et la portée de ses ordres, mais il dut se résoudre à des conjectures. Dans quel but devait-il conduire son Severodvinsk près de la localité de Kiyat, à l'extrême sud-ouest de l’Arabie Saoudite, pour débarquer “Gregor” et “Youry”, et se rendre ensuite deux cents milles plus au nord pour lâcher dans la nature “Mijaïl” et “Vania" ?
Comme il doutait fort que ses quatre passagers ne lui fournissent aucune explication supplémentaire, il se contenta d’exécuter ses instructions à la lettre. Il longea la côte à faible profondeur en se frayant un chemin le plus discret possible dans le trafic intense, sans prendre une minute de repos. Le Severodvinsk croisait dans l’un des lieux les plus fréquentés du monde, car les flottes marchandes et les marines de nombreux pays devaient emprunter le même itinéraire pour passer par le Canal de Suez.
Il ne réussit à mener à bien cette sa mission qu'au prix d'une attention de tous les instants. Ses nerfs et ceux de son
équipage furent mis à rude épreuve.
Au moment de s’embarquer dans le canot qui devait le conduire à terre, “Vania” lui donna une poignée de mains un peu plus insistante qu’à l’accoutumée et lui dit en arborant son sourire énigmatique de boucanier :
- J’ai l’impression que nous sommes appelés à nous revoir bientôt, Commandant Voronej...
Il lui tourna le dos sans attendre de réponse et se laissa tomber avec désinvolture sur le boudin du canot pneumatique. L’écho assourdi du moteur se confondit bientôt avec le ressac et les embruns de la côte proche.
Quand Arkady quitta le central après avoir livré son dernier “colis” à moins d’un mille de la côte saoudienne, il avait la certitude que cette mission, à l’origine déjà assez peu orthodoxe, allait leur apporter encore son lot de complications.
Et Arkady Voronej se demanda en longeant la coursive qui menait au carré : "Nous ne sommes qu’un pion déplacé dans un échiquier géant. Mais où est la tour, qui est la reine, où sont placées les autres pièces et, surtout, qui et dans quel but manoeuvre les noires ? ”
Mastabah, le 19 septembre
Youssouf loua une chambre dans un quartier populaire de la vieille ville. Il se reposa quelques heures sur un tapis crasseux. Ensuite, il partit faire ses courses dans le voisinage.
Il chercha d'abord une échoppe de ferronnier, où il acheta un morceau de fil de fer souple et une paire de tenailles. Il paya, enveloppa ses achats dans un journal et fourra le tout dans son sac.
Dans un terrain vague, il trouva un bâton au milieu d’une montagne de détritus. Il le coupa en deux, et le rangea aussi dans son sac.
Il s’assit un peu plus loin à l’abri d’un muret de pierre, étala devant lui ses achats ainsi que le bâton, puis découpa dans le bois avec son couteau deux tronçons d'une quinzaine de centimètres
chacun.
Il enroula les extrémités du fil de fer au milieu des manches en bois qu’il venait de confectionner, ajusta solidement le métal et coupa l’excédent avec ses tenailles. Une fois déplié, l'ustensile avait une longueur d’environ quarante-cinq centimètres. Youssouf testa sa souplesse et sa résistance en tirant fermement par les deux bouts.
Satisfait du résultat, il empocha son outil et partit vers le parc où il devait attendre l’arrivée de son premier contact.
Il faisait presque nuit, et le jardin public n’était éclairé que par trois lampadaires situés près des accès. Il s’installa sur un banc isolé et patienta en grignotant des pistaches.
Un bon quart d’heure plus tard, un bruit de pas sur le gravier de l'allée le tira de sa torpeur. Un homme grassouillet s’avança jusqu’à lui et s’assit à son côté. L'homme fouilla dans sa poche et sortit une petite estampe de La Mecque aux angles racornis. Une fois accompli ce rituel de reconnaissance, il se tourna vers Youssouf et attendit que celui-ci se présente à son tour avec les mots convenus.
C’est une image très belle que tu as là, mon frère.
Et pieuse aussi, répondit son contact avec un fort accent algérien. Elle est aussi très pieuse.
As-tu appris où se trouve actuellement la jeune fille que je suis venu chercher ? demanda Youssouf sans le regarder.
D’après mes informations, fit l'Arabe en détaillant Youssouf de la tête aux pieds, Irbit est avec son grand-père. Ils se sont installés dans le camp des étrangers, au milieu de la plaine désertique.
L’accès est facile ?
Facile ? On voit bien que tu ne connais pas le vieux Yoran ! Comme toujours, il est entouré d’une trentaine de gardes armés. Des fous prêts à tout pour le protéger ! Les chercheurs, de leur côté, ont réussi à obtenir la protection de l’armée. Il y a plus de cent cinquante soldats qui patrouillent en permanence sur le périmètre. Des journalistes américains sont arrivés aussi sur le site. A mon avis, personne ne peut s’en approcher.
Sais-tu pourquoi ils s’agitent ainsi ?
La rumeur dit que les étrangers auraient découvert une cité ancienne. A en juger par le nombre de soldats qui gardent le camp, ils ont peut-être mis la main sur un trésor ! Personne n'en est tout à fait sûr.
Bon. Quand et où puis-je rencontrer celui que tu sais ?
Demain matin, à l'heure de la prière, il se trouvera dans le patio de la mosquée de Jhalil. Ne t'en fais pas, il saura te reconnaître...
Youssouf se leva sans se presser, considérant l’entretien terminé. Il n'avait appris que peu de chose, mais il avait le pressentiment que son contact du lendemain lui réservait quelques surprises. Il quitta le parc sans un mot d'adieu, déjà perdu dans ses pensées.
La mosquée de Jhalil se dressait face à une esplanade qui baignait dans la lumière blafarde du soleil naissant. Une poignée de fidèles se rendait à la prière du matin avec cette démarche machinale créée par une longue habitude.
Youssouf attendait devant la porte depuis quelques minutes, le dos appuyé contre un pilier en brique surplombé d’une arche décorée de moulures en stuc. Quelqu'un était censé le prendre en charge, mais celui ou ceux qui devaient le faire se contentaient pour l'instant de le jauger à distance.
Ses sens en éveil, il prit conscience d'une présence se déplaçant le long de la façade ouest. Quelqu'un venait dans sa direction.
Venez, suivez-moi, dit enfin une voix derrière lui.
Youssouf se tourna et emboîta le pas à la silhouette un peu
tassée qui le précédait. Il n'avait pas eu le temps de découvrir le visage de l’autre, mais cela n'avait aucune importance. Il était certain de n'avoir affaire qu'à un messager.
Son guide le fit traverser le péristyle entourant le patio où se prosternaient les fidèles pour la prière. Ils franchirent ensuite un dédale de couloirs et de galeries sombres. Après une volée de marches, ils arrivèrent dans un dégagement éclairé par

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