Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 41

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

e de Marine de Vladivostock avant de servir pendant quatre années à bord du patrouilleur algérien lance-missiles 648, du type OSA II, livré à son pays par les soviétiques. Devenu officier, il avait servi pendant cinq ans comme second à bord de la frégate 902 Raïs Kellich avant de prendre le commandement de la corvette lance-missiles 801 Raïs H amidon, du type Nanushka II soviétique aussi, où il perfectionna ses connaissances de la guerre électronique et des contre-mesures.
Rachid Nafud estimait avoir accompli son devoir envers sa patrie. L’année 1991 avait été le tournant de sa vie. Après la guerre occidentalo-arabe contre Saddam Hussein, le jeune commandant Nafud refusa de renouveler son engagement dans la marine algérienne et rejoignit les rangs du peuple de Dieu, en intégrant le Parti Islamique. Rachid connut alors une sorte de révélation.
Par le biais de son mouvement, il rentra en contact avec les services Opérations de l'Ayatollah Gazemi. Ses compétences militaires indiscutables lui assurèrent très vite une place de choix dans un milieu qui était composé surtout de rêveurs ou de marginaux.
Quand l'Ayatollah lui proposa de prendre en main la corvette oubliée au Mozambique depuis la guerre, Rachid Nafud, à 39 ans, se sentait fin prêt. Et quand Gazemi lui expliqua le rôle qu'il entendait faire jouer à cette corvette, Rachid Nafud jubila.
Quand la F220 eut gagné les eaux internationales, le commandant Nafud appela par l'interphone de bord l'officier de veille sonar et le convoqua sur le champ dans la salle des cartes. Bien entendu, les détails de l’opération en cours avaient été déjà maintes fois discutés, d’abord avec leurs commanditaires, c’est à dire avec les responsables tactiques de l'Ayatollah, et ensuite avec les officiers désignés pour l’assister à bord, mais Nafud ne pouvait se permettre de prendre le moindre risque. Le choix du but n'était pas de son ressort, mais il entendait définir, seul, le ou les moyens pour y parvenir.
Comme dans tous les bâtiments de ce genre, la salle des cartes était une annexe du carré. C'était une pièce rectangulaire assez étroite, ayant pour seul mobilier une table fixée au plancher et une demi-douzaine de chaises garnies de moleskine. Les livres de référence et les cartes marines se trouvaient dans un rayonnage 
en bois placé au-dessus d'un placard mural à glissière. La cloison bâbord était dotée d'un hublot.
Abdoul-Aziz Hamran. l’officier sonar, était un homme mûr. De petite taille, presque courtaud, sa bouche, à la lèvre inférieure d’un rouge vif et trop charnue, conférait à son visage une impression trompeuse de chaleur humaine. Taciturne et cynique, Abdoul-Aziz mesurait ses paroles et ses gestes avec parcimonie. Ses interlocuteurs le trouvaient généralement peu sympathique, voire hautain.
Rachid Nafud ne le connaissait que depuis un mois. Il savait par son dossier qu'il s’agissait d'un officier compétent, dévoué à la cause, mais il étudia sa réaction quand il lui posa la première d'une longue série de questions.
Dites-moi, Abdoul, quelles sont à votre avis nos chances de traverser les mailles du réseau allié en battant un faux pavillon ?
Aucune, Commandant, répondit l’officier sonar sans hésiter. La signature acoustique de nos machines est enregistrée dans les banques de données des marines occidentales. Nous ne tromperons personne.
Rachid Nafud savait pertinemment que le vieux stratagème du pavillon de complaisance ne serait efficace que le temps de s’éloigner des côtes africaines. D'autre part, il n'était évidemment pas question d’arborer à nouveau la bannière irakienne. Pour résoudre ce problème, les tacticiens de l'Ayatollah lui avaient suggéré de naviguer le plus loin possible des routes maritimes internationales, en déployant dans son sillage un leurre acoustique pour tromper un éventuel repérage. Mais Rachid pensait, non sans raison, que les équipements occidentaux étaient suffisamment fins pour déceler ce type de subterfuge, qui éveillerait inévitablement leur curiosité. La corvette devait remonter l'Océan Indien sans tomber dans ce piège.
De quelle manière pouvons-nous déguiser notre signature sonar ? Je veux dire maintenant, en pleine mer, et sans arrêter les machines ?
Abdoul-Aziz le considéra d’un oeil critique. Il ne comprenait pas pour quelle raison il soulevait ce problème, car il avait été convenu au départ de déployer un leurre. Néanmoins, il
réfléchit un moment, et finit par répliquer de sa voix impersonnelle :
Nous ne pouvons pas changer le bruit de nos turbines. Cela ne peut se faire qu’en cale sèche, parce qu’il faudrait modifier le pas de nos hélices ou transformer les moteurs pour obtenir une nouvelle signature. En revanche, nous pouvons ajouter un nouvel élément discordant, une sorte de bruit complémentaire qui viendrait se joindre à notre signature habituelle. La transformer juste assez pour la rendre plus difficile à identifier.
Votre idée me plaît. Abdoul... Pensez-vous que notre mécanicien puisse le faire ?
Je crois, oui. Nous disposons à bord de l’outillage requis. Le seul inconvénient de cette méthode c’est qu’elle nous obligera à naviguer sur une seule turbine le temps d'apporter à chaque moteur les modifications nécessaires.
De quel délai avez-vous besoin ?
Je ne peux pas vous dire exactement. Cela dépendra beaucoup de l'habilité de notre mécanicien. Dans le pire des cas, de huit à dix heures.
Le commandant Nafud se laissa tomber sur l'un des sièges en moleskine et considéra son officier sonar d’un regard non exempt d'estime. Pendant une seconde, il se sentit plus proche de son subordonné.
Je vous remercie, Abdoul. Résumons-nous donc : en suivant vos directives, le mécanicien va tenter d’altérer la signature de nos machines de façon à tromper les détecteurs des marines adverses. Supposons maintenant que l’un de leurs sous-marins repère notre corvette. Par pure routine, il essayera de nous identifier à l'aide de ses ordinateurs couplés à leur sonar passif. J’insiste encore, quelles chances avons-nous de lui échapper ?
Abdoul-Aziz arracha une feuille blanche d'un bloc, se munit d'un crayon gras, et dessina sur le papier plusieurs lignes en forme de dents de scie.
Ces lignes représentent la signature acoustique de la corvette quand elle était en service dans la marine irakienne. Les marines occidentales connaissent ces données.
Abdoul dessina ensuite une nouvelle série de traits aussi réguliers que les précédents, mais dont les écarts vers le haut et
vers le bas étaient beaucoup plus prononcés.
Maintenant, nous venons d'ajouter un élément supplémentaire dans notre bruitage habituel. Le résultat final diffère de l’original, mais, attention ! Cela ne nous garantit en aucun cas une impunité totale. Tout dépend de la vigilance du veilleur sonar adverse et du degré de sophistication de son matériel...
Comme la plupart des officiers de la marine algérienne, le commandant Nafud avait été formé par les soviétiques. Leur technologie avait une bonne vingtaine d’années de retard par rapport à celle de leurs ennemis théoriques. Nafud en était pleinement conscient, et les soviétiques qui l'avaient formé aussi. 11 avait donc appris certaines méthodes qui, tout en restant rudimentaires, réussissaient souvent à abuser la technologie américaine.
Nafud se pencha sur le papier, prit le crayon des mains de son subordonné, et dessina une autre série de traits ayant une vague ressemblance avec la précédente.
Je sais que certains sonars occidentaux peuvent filtrer notre bruitage additionnel et réussir à identifier la corvette. Quelle conclusion tireraient-ils si, au moment de traverser un endroit particulièrement surveillé, nous réduisons de deux tiers la puissance de l'une de nos turbines, augmentons cel

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