Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 49

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

d'être à nouveau comprimés par le coude. Après l'étranglement, la violence du flux atteint sa puissance maximale.
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L'homme qui marchait en tête de la colonne d’Ali décolla proprement du sol et s’envola vers l’entrée du tunnel comme un pantin désarticulé. Incrédule, il essaya vainement de lutter contre cette force irrésistible. La puanteur le saisit à la gorge, et un hoquet au goût de bile étouffa son premier cri. Cédant à la panique, il remua désordonnément ses membres, les yeux exorbités et les pupilles dilatées, essayant de s’extirper de ce cauchemar. Et la chaleur sans flammes commença à dévorer ses jambes.
Répercuté par l'écho, son beuglement retentit dans le corridor avec une force assourdissante. Ce fut un cri inhumain, un tel hurlement de douleur que les trois hommes qui le suivaient, figés de stupeur, ne furent pas en mesure d'opposer la moindre résistance. Il furent aussi soulevés du sol par cette main géante et invisible et projetés vers le groupe compact de leurs camarades.
^ ^ ^
Liam avait du mal à cacher sa surprise. Les images transmises par l’écran de contrôle dansaient encore devant ses yeux, et son malaise grandissait. Le son du moniteur était heureusement coupé, mais les gesticulations des victimes n’en paraissaient que plus tragiques. Force lui était de constater que celui qu’il prenait depuis le début pour un vieux rêveur idéaliste était peut-être un homme fermement déterminé à se défendre.
Yoran, qui s’était aperçu du débat intérieur auquel se livrait son jeune invité, essaya de dissiper ce qu'il considérait comme un simple problème d'interprétation.
Voyez-vous, jeune homme, le piège dans lequel viennent de tomber nos assaillants nous a servi à préparer le terrain. A l’heure actuelle, nos agresseurs, qui étaient si confiants au début, doivent éprouver un sentiment d'insécurité, même si nous avons affaire à des fanatiques.
Yoran se composa un visage résolu.
Trente-deux mercenaires prêts à tout se trouvent de l’autre côté du couloir, vingt-huit maintenant, pour être plus précis. Ils sont venus dans le but de nous massacrer jusqu’au dernier, vous comprenez ? De nous massacrer ! insista-t-il, les mâchoires serrées. Et nous n'avons que deux moyens pour nous défendre avant de succomber sous le nombre : la ruse, et notre maîtrise du terrain. Vous saisissez ?
Liam hésita, peu convaincu. Il réprima un violent désir de se lever.
Je ne sais pas si... Mais ses lèvres ne terminèrent pas la
phrase.
A la bonne heure ! reprit Yoran qui, lui, se leva avec un demi-sourire engageant. Il n’y a pas que nos modestes vies qui soient en danger, vous savez ? Le risque que nous courons est beaucoup plus important, il nous dépasse.
Il s’arrêta un instant et son buste s’agita au rythme de sa respiration saccadée.
Alors, que comptez-vous faire maintenant ? demanda Liam après un moment de silence.
Yoran secoua la tête, comme pour se débarrasser de la question de son invité.
Nous nous sommes préparés depuis longtemps à cette éventualité. Nos attaquants disposent des moyens et de la persévérance qui s'imposent, mais nous pourrons retarder leur progression de quelques heures, de quelques jours ou peut-être pour toujours, ajouta-t-il, énigmatique. En fait, notre but est de faire reculer ce qui paraît inéluctable.
* * *
- Retournez vers l’entrée ! ordonna Youssouf d'une voix qui retentit comme un coup de tonnerre, même s’il n'arriva pas à se faire entendre.
Il avait pris tout de suite la mesure de la situation. Pour l’instant, il fallait absolument refouler vers l’arrière et se mettre à l'abri dans le tunnel. Une fois en sécurité, ils auraient tout le temps de trouver une parade.
Ali le rejoint un moment plus tard, les yeux rougis et le visage hagard. Youssouf accueillit sa présence avec une pointe de regret. Son rival ne comptait donc pas parmi les victimes.
Que se passe-t-il ici ? demanda le nouveau venu en roulant des yeux effarés.
Youssouf alla vers lui d’un pas traînant et remarqua que le regard de son subordonné était éloquent. Il luisait de peur. Quand il fut si près qu’il pouvait presque le toucher, il répondit d’un ton confidentiel :
C'est l’oeuvre de Yoran. Si mes souvenirs sont exacts, tu disais tout-à-l’heure que nous allions lui faire une bonne surprise, n’est-ce pas ? Pour le moment c’est raté ! Il sait que nous somme ici, et il a la ferme intention de nous le faire payer ! ajouta-t-il avec une note évidente de défi.
Ali prit un air sceptique, et hurla sans se démonter à l’intention de ses hommes : “Le spectacle est terminé ! Allons, ressaisissez-vous ! Nous allons nous ouvrir un chemin de force.”
Il tourna les talons avec dédain, mais Youssouf, qui ne s'attendait pas à une autre réaction de sa part, avait perçu néanmoins une légère hésitation dans sa voix. Il se mit en marche lui aussi, tout en remarquant le manque d’enthousiasme de bon nombre de ses hommes.
Youssouf prit la décision de bloquer les deux accès du tunnel et de l'utiliser comme base arrière. Au vu des moyens déployés par Yoran, il réalisa que la prise des galeries donnant accès au coeur du refuge allait être beaucoup plus compliquée que prévu. Ayant pris sa décision, il commanda par radio au campement des intégristes plusieurs plaques de blindage léger, une forge de campagne, un équipement mobile de soudure et un assortiment de matériaux divers.
Pressé de reprendre l’attaque. Ali tournait autour de lui comme un derviche, mais Youssouf l’ignorait superbement et se contentait de lui confier quelques taches subalternes dans le but de le maintenir occupé. L’attente promettait d'être longue.
Le transport du matériel requis et la construction du paravent blindé leur prit une bonne demi-journée. Ses préparatifs achevés, Youssouf jeta un regard amusé au fruit disgracieux de son imagination. Son engin avait l'air d'un crabe amputé de moitié, qui ne ressemblait guère au dessin au crayon qu'il avait fait, mais il tiendrait le coup.
Youssouf avait fait souder deux plaques blindées d'un mètre de haut par un mètre et demi de large selon un angle de 45 degrés. Ses ouvriers avaient muni la plaque supérieure d'un oeilleton vitré et d’une ouverture circulaire pouvant loger le tube d’un lance-roquettes. Quatre bras concaves fixés à la carcasse blindée permettaient de s’accrocher au terrain, deux au sol, légèrement en retrait, et les deux autres aux parois du corridor pour résister à la poussée du turboréacteur de Yoran. Pour avancer, son engin utiliserait deux vérins pneumatiques actionnés par un compresseur. Leur progression serait laborieuse, mais il était persuadé qu’ils y arriveraient.
Il est malin, le bougre !
Yoran ne put s’empêcher d’admirer le travail accompli par le chef de ses agresseurs. Il se rendait parfaitement compte que ses invités le trouvaient anormalement rassuré compte tenu des forces en présence, mais il ne fit rien pour expliquer d'où lui venait cette sérénité face au danger.
Le crabe métallique de Youssouf venait de faire son apparition sur l'écran de contrôle. L’éclairage était assez mauvais, mais Yoran aperçut néanmoins les trois hommes qui se trouvaient derrière la carapace blindée. Malgré la puissance du turboréacteur, centimètre après centimètre, l'engin progressait.
Le Saoudien vint auprès d’un de ses collaborateurs. C’était un Européen d'origine latine, un brun aux cheveux clairsemés d’une quarantaine d’années.
Roberto, commencez l’évacuation de l'unité centrale. Je pense que nous avons encore le temps, mais mieux vaut presser le mouvement. Avec ce diable d'homme qu'ils ont à leur tête, personne ne peut présumer du délai qu'il lui faudra pour déjouer nos défenses. Il sait s’adapter très vite, à mon avis, 

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