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beaucoup trop vite.
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Le crabe blindé mit un peu plus de deux heures pour se trouver en vue du coude formé par le couloir. Le bruit était assourdissante, presque insoutenable, mais les trois hommes logés à l'intérieur de la carapace s’étaient munis de casques semblables à ceux utilisés par les conducteurs d'engins. Le turboréacteur se trouvait droit devant eux, de l’autre côté du rétrécissement.
Bien entendu, toute conversation radio avec l’arrière était impossible, mais Youssouf avait convenu avec ses hommes d'un langage de signes rudimentaire. Il comprit qu'ils tenaient le bon bout et donna l'ordre de détruire l’obstacle de la façon prévue. Ali ne le quittait plus depuis le début de l’opération, et Youssouf s’amusait à entretenir ses doutes.
Le Wasp 58* de Luchaire-Serat dont était équipé l’un des hommes de pointe fut introduit dans l'ouverture circulaire de la plaque blindée. Le fantassin visa soigneusement le centre du turboréacteur et appuya sur la détente de son arme. La charge creuse de 58 mm traversa le goulot d’étranglement du couloir et toucha sa cible une fraction de seconde plus tard. Elle pénétra dans le coeur du turboréacteur et explosa dans la chambre de combustion.
Sa turbine percée en plusieurs endroits et ses compartiments isolants volatilisés, le turboréacteur se désintégra. Une boule enflammée de kérosène de plusieurs mètres de long jaillit dans le corridor avec une force dévastatrice. Les quatre bras de maintien arrachés, l’engin blindé se renversa avant d'aller se fracasser contre la paroi. Les trois hommes qui se trouvaient derrière le bouclier se firent proprement griller sur place.
Un interminable moment plus tard, quand la fumée commença à se dissiper et que la chaleur ambiante devint supportable, Youssouf comprit qu'il avait gagné son pari. Il avait encore perdu trois hommes, mais la voie conduisant au repaire de Yoran venait de perdre son premier verrou. Il se doutait que le Saoudien avait dû en placer quelques autres. A sa place, il aurait agi de même, et il commençait à s’identifier avec cet ennemi insaisissable. Mais chaque chose viendrait en son temps. Pour l'instant, le réacteur détruit, Youssouf se contenta simplement de savourer le silence.
* * *
Farid regarda l’écran où venaient de s’éteindre plusieurs points lumineux. Devenu inutilisable, il l’éteignit d’un geste rageur. Il était un peu plus de neuf heures du soir. Avec la destruction du réacteur, les intrus étaient arrivés à la galerie donnant accès aux installations principales du complexe. Le coup était rude, et le jeune technicien de Yoran se mordilla nerveusement la lèvre supérieure. Il était loin d’éprouver les mêmes certitudes que le maître des lieux.
Dans dix minutes, il devait appuyer sur un petit bouton rouge placé en bas de sa console. 11 créerait ainsi des perturbations qui dureraient à peine une dizaine de secondes. Si tout se passait bien, leur effet se ferait sentir jusqu’au sas d'accès. A défaut d’arrêter la progression des intrus, il était censé la retarder.
A condition, bien sûr, que le relais en surface ne soit pas découvert et démonté, que les assaillants n'entament pas le réseau des commandes électriques et que le système de défense installé dans le corridor fonctionne dans son intégralité. Et que ses nerfs à lui. ainsi que ceux de ses camarades, tiennent !
L'équipe d'Ali s’engagea à nouveau dans le corridor, mais ils s'étaient entourés cette fois-ci d'un grand luxe de précautions. La leçon avait été retenue. Le dos collé contre la paroi, les hommes progressaient un par un en laissant un intervalle entre chaque membre d’une dizaine de mètres. L’étranglement du couloir fut franchi sans encombre et le fantassin de tête éclaira avec sa lampe les restes tordus et encore fumants du turboréacteur.
Une heure et demi plus tard, les vingt-cinq rescapés purent se grouper enfin dans la pièce poussiéreuse fermée par la porte étanche qui livrait le passage au hangar.
Les artificiers de Youssouf ne réussirent à percer l’épais blindage de protection qu’au bout de leur quatrième tentative. La difficulté ne venait pas tant de la dose d'explosifs à utiliser que du choix de l’endroit où ils devaient les placer pour désolidariser la porte de son montant. Mais l’expérience acquise au Liban et dans divers pays européens, où les mouvements intégristes avaient complété leur formation au contact de diverses organisations terroristes, s’avéra déterminante.
Après leurs premiers essais infructueux, l’artificier fit sauter le tableau de commande de la porte avec un pain de plastic, ce qui déverrouilla le système de blocage. Il plaça ensuite trois petites charges contre les charnières, et la déflagration disloqua la structure. Le lourd battant se déplaça latéralement d'une soixantaine de centimètres, assez pour permettre le passage d’un homme. Les vingt-cinq assaillants purent se déployer prudemment dans le hangar situé de l’autre côté.
Ils furent obligés d’allumer des projecteurs, car la pièce était plongée dans l’obscurité totale. L’amplitude et le genre même de la construction qui s’offrait à leurs yeux médusés augmenta le malaise général. Les murs enduits de matière synthétique et le sol recouvert de larges plaques de caoutchouc étincelaient sous les allogènes. Par rapport à la pièce qu'ils venaient de quitter, taillée dans le roc à une époque révolue, laissée à l’abandon et pleine de poussière, la plupart des assaillants eurent l’impression de plonger dans un autre monde, un monde incongru créé à l’image démesurée d'un homme. Et cette sensation ne rassura personne.
Dans le poste de contrôle, Yoran se tourna vers Liam et le professeur Keifer comme s’il découvrait brutalement leur présence. Son visage s’assombrit.
Il est encore temps de partir, si vous voulez, leur dit-il. Nous avons un moyen...
Partir ? Nous sauver ? l’interrompit Liam en quittant son siège avec brusquerie. Vous nous avez emmenés jusqu'ici, et nous avons la ferme intention d’y rester. En attendant, j’aimerais plutôt me rendre utile...
Yoran le considéra avec un regard amusé, puis soupira avec un haussement d’épaules.
Je m'excuse si je vous ai froissé, jeune homme, dit-il avec calme. L'Irlandais avait contribué à la libération de sa petite fille, et un musulman prend très à coeur se genre de dette.
“ Mes collaborateurs vont essayer d'arrêter les intrus. Nous disposons encore de bon nombre de moyens, ne vous inquiétez pas. En revanche, je vous saurais gré de veiller sur ma petite Irbit. Votre présence servirait au moins à la rassurer. Si vous voulez, quelqu'un peut vous conduire auprès d’elle. Sa chambre dispose d'un équipement vidéo relié au poste central. Nous garderons le contact.”
Liam acquiesça d’un signe de tête et se tourna en direction de Keifer, quêtant son assentiment.
D’accord, répondit-il avec assurance. Cela nous convient.
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Le rayon d’une lampe braquée sur le fond du hangar dévoila la présence d'une sorte de buggy électrique de petite taille. Il était rangé dans un box dépourvu de porte et paraissait en bon état. L'un des mercenaires courut jusqu’à lui et s’installa derrière le volant.
Ali pressentit que le buggy était piégé. Il aboya son ordre au moment où son subordonné essayait de le mettre en marche.
- Ne touchez à rien ! Eloignez-vous des murs et dispersez- vous dans le hangar !
Comme ses injonctions n’étaient suivies d’aucun effet. Ali s’élança en poussant d’une bourrade les hommes qu'il trouva sur son chemin. Sa lampe portée à bout de bras traçait un chemin fantomatique dans l'obscurité. Tout en courant, il concentra son attention sur les feux arrière du véhicule, essayant de deviner à quel moment il allait explose
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