Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 34

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

allut deux nouvelles journées de travail pour le débarrasser.
L’exaltation s’était emparée de l’équipe. Depuis le professeur Keifer jusqu'au dernier fellah reconverti en terrassier.
tous étaient convaincus qu'un endroit aussi bien protégé devait receler des trésors inouïs.
Le passage conduisait à une chambre d’une cinquantaine de mètres carrés ne contenant que des objets d’une importance mineure. La seule trouvaille intéressante fut un tas informe d’éclats de calcaire et de fragments de poterie, couverts d'inscriptions diverses. A l’époque des pharaons, on utilisait souvent de tels supports, ou ostracas, pour économiser le papyrus.
Un autre corridor, qui par bonheur n’était pas bouché par une porte scellée, s’enfonçait aussi vers l'ouest en direction de la mer. Il était également encombré de gravats, et les terrassiers de Keifer furent obligés de déblayer des heures durant avant de mettre à jour une découverte d'importance.
Dans une petite cachette aménagée sur le flanc de la paroi, l’équipe de Liam trouva une demi-douzaine de jarres d’albâtre portant le sceau du pharaon Mérenptah. Il s’agissait de spécimens à col de cygne d'une facture raffinée.
Plusieurs équipes avaient été affectées à l’exploration des différentes galeries du réseau souterrain, qui partaient dans tous les sens. Déjà, trois ouvriers avaient été blessés en tombant dans des trous masqués, et un effondrement dans un tunnel avait blessé deux autres personnes. Suite à ces accidents, Keifer avait donné l’ordre de surveiller très attentivement l’état du sol, des murs et du plafond à mesure que les fouilles progressaient. Il ne redoutait pas les pièges éventuels laissés sur place par les bâtisseurs du souterrain, car la technique hyksos était loin de valoir celle de leurs maîtres égyptiens. Si des pièges avaient été tendus, le passage des années les avaient rendus certainement inopérants.
Des objets de toute nature commençaient à s’entasser, de telle manière que Keifer dut ordonner la construction d’un deuxième entrepôt, dont la surveillance fut confiée nuit et jour à la police saoudienne.
Ils trouvaient des vestiges en si grand nombre, que leur déplacement et leur stockage s’avéraient problématiques. Parfois, Keifer et Liam devaient se livrer à toutes sortes de calculs avant de déterminer si tel ou tel objet était transportable. Dans certains cas, il semblait plus judicieux d’entreprendre sur place les travaux
préliminaires de conservation.
Le bois, le cuir, beaucoup de matières organiques avaient une apparente solidité, mais ne résistaient pas au moindre contact. Un souffle d'air ou une petite secousse malvenue occasionnaient souvent leur effritement immédiat. Liam se révéla doté d’une imagination extrêmement fertile. Il avait le don de mettre à profit les ressources locales dont ils disposaient pour conserver les matériaux à moindre frais, avec les garanties de fiabilité indispensables. Il savait utiliser la paraffine, le celluloïd ou la chaleur d'un réchaud à alcool avec bonheur. Lentement, mais avec une rigueur scientifique absolue, le dégagement des couloirs et des nombreuses salles se poursuivit.
Dans le renfoncement d'une galerie, ils trouvèrent aussi deux chariots démontés, une statue en marbre du chien Anubis. des coffrets en bois ayant contenu des provisions de bouche, des jarres, des vases sans nombre, des bustes incrustés de pâtes de verre, tout un trésor d’une valeur archéologique inestimable, oublié ou laissé volontairement à l'abandon depuis trois mille ans par les derniers maîtres de Mastabah l’ancienne. Mais tous sentaient, et le professeur Keifer le premier, que le véritable Trésor de Mastabah restait encore à découvrir.
La galerie principale, après de multiples détours pour contourner les obstacles naturels tels que les strates rocheux ou les lits d’anciennes rivières souterraines, s’orientait généralement en direction de la mer, distante d'un bon millier de mètres du palais d’Ahmosé. L’équipe du professeur Keifer, qui avait été désignée pour suivre son tracé, mit deux semaines et demi avant d'atteindre ce qui semblait être, d’après le sismographe, la dernière ligne droite d’un parcours semé d'embûches. Néanmoins, la fiabilité d’un tel procédé s’amenuisait proportionnellement à la profondeur atteinte, et ils avaient dépassé déjà la côte de -18 mètres.
Quand les terrassiers arrivèrent au bout du corridor relevé dans les plans, ils constatèrent qu'il tournait à angle droit avant de s'enfoncer en forte pente. 11 s’agissait d'un passage très étroit, pareil à un tunnel creusé à la hâte dans le rocher. Keifer et son équipe furent obligés de le parcourir à quatre pattes.
Au bout d'un quart d'heure d'une progression assez pénible, l'ouvrier qui rampait en tête laissa échapper une sourde plainte et s’immobilisa d'un coup, le corps subitement raidi, figé par le spectacle qui s’offrait à ses yeux. Après un silence qui parut interminable, il se mit à débiter des phrases hachées en dialecte bédouin, mais ce langage demeurait pour Keifer complètement impénétrable.
Il rampa aussitôt vers le terrassier et s’agrippa à ses épaules pour regarder par dessus sa tête. La lampe de poche éclairait le bout du tunnel aboutissant à une nouvelle salle. Et la lumière provoquait un scintillement qui aveuglait le regard.
Keifer retrouva sur le champ l'impétuosité de ses vingt ans. Arrachant au passage la lampe des mains du terrassier ahuri, il le repoussa contre la paroi et se fraya difficilement un chemin. Sa chemise se déchira contre une aspérité rocheuse, sa Rolex incassable cogna contre un angle acéré, mais aucun obstacle n'aurait pu arrêter sa course effrénée vers ce miroitement lumineux qui l’attirait avec une force irrésistible.
Rampant comme un serpent. Keifer gagna rapidement l’entrée de la salle. Sans pouvoir s’en expliquer la raison, il avait la certitude que ces dernières reptations étaient en train de le faire rentrer dans l’Histoire.
Un instant, le temps s’abolit. Des siècles s’étaient écoulés depuis que le dernier être vivant avait foulé ce sol où, pourtant, les traces de sa présence abondaient partout. Le professeur Keifer avait pénétré seul dans la vaste pièce, et la lenteur de sa démarche trahissait l’émotion dont il était la proie.
Il caressa du regard l’amoncellement d'objets étalés sous ses yeux, dont beaucoup lui semblaient familiers. En examinant avec un peu plus d’attention l'un d’eux, il remarqua avec une certaine surprise l'empreinte d'un doigt du potier sur l'argile d’une 
lampe à huile. Il trouva aussi un bol à demi rempli de nourriture, des sandales usagées, ainsi qu'une cordelette de chanvre abandonnée par terre. Sa respiration se fit plus rapide et il se retourna vers ses terrassiers ayant la nette impression que les ouvriers d’Ahmosé étaient partis la veille.
Keifer envoya un messager chercher Liam et demeura sur le pas de la porte, bouleversé au plus profond de son âme. La lampe qu’il avait emportée éclairait irrégulièrement les trésors empilés dans la pièce, et le miroitement de l’or et des joyaux scintilla dans ses yeux subitement remplis de larmes.
Quand Liam arriva près de lui. le jeune Irlandais éprouva un instant les mêmes sensations que son maître, puis le poids de la responsabilité l’accabla. Il dut faire un effort pour se ressaisir, et détailla avec son pragmatisme coutumier les merveilles qui s’entassaient partout.
La salle contenait des coffres délicatement ouvragés de toutes les tailles, incrustés de pierres précieuses et de fines lamelles d’or. 11 remarqua aussi de nombreux bustes et des vases d'albâtre, des animaux sculptés dans l’ivoire, des assiettes et des coupes en or massif ornées, ainsi que de

No comments:

Post a Comment