Sunday, February 28, 2016

extraction de données dans excel - 46

Nous pouvons extraire des données dans Excel à partir de tout site Web ou document. Ce processus est connu comme ""la capture de données"". Alors, comment fonctionne ce processus?
Nous téléchargeons les informations de la liste des sites Web que vous spécifiez. Après cela, nous analysons les informations du site et nous trouvons les domaines concernés. Les champs sont ensuite insérés dans un fichier XLS que vous pouvez utiliser avec les bases de données, de logiciels ou de tout outil logiciel que vous préférez.

Ce processus peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'efforts. Vous pouvez également essayer des outils gratuits qui extraient des données, mais ils ne seront pas très efficaces. Chaque situation est tellement différente, qu'il n'y a pas d'outil universel pour l'extraction de données. extraction manuelle de données ne sont pas une option dans la plupart des projets aujourd'hui parce que la quantité de données est trop grande. Nous vivons dans un monde plein de données et le travail manuel est une chose du passé.

Les données des boutiques en ligne peuvent être extraites avec une précision impressionnante. Articles et nouvelles peuvent également être extraites et surveillés automatiquement les changements ou mentions. Les coordonnées sont en effet très important. Nous pouvons trouver des e-mails en ligne que d'autres services ne peuvent pas trouver. De nombreux services à trouver la principale e-mail d'une certaine société. Cette adresse est inutile. Vous devez trouver les bonnes personnes dans la société si vous souhaitez promouvoir vos produits ou services. Voilà pourquoi notre service offre des informations que vous pouvez utiliser dans la réalité, pas seulement des chiffres potentiels.

collecte de sensations de Liam se complétait seulement par l'odeur ambiante, tenace en raison de l’humidité, ainsi que par la fraîcheur relative du milieu.
Au point où il en était, Liam suivait le mouvement avec une passivité qui le déconcertait. Depuis le début de cette aventure, rien, absolument rien ne s’était déroulé comme il l'avait songé dans Je confort douillet de son appartement à l’Université de Boston. Quelques mois plus tôt, son destin avait rencontré une croisée de chemins. Et il s’était engouffré sans la moindre hésitation dans la voie la plus raide.
Les faits s’enclenchaient d’eux mêmes avec la précision inexorable d’un mécanisme bien huilé. Il avait accepté la proposition du professeur Keifer comme un voyageur égaré qui se précipite vers une oasis au milieu du désert. Ensuite, la passionnante aventure des fouilles et la découverte du superbe tombeau d’Ahmosé avaient été reléguées au second plan par la présence de cette jeune fille dont le charme le subjuguait. Liam sentait qu’il était impliqué d’une façon indéfinissable dans le mystère qui entourait la famille Al-Jazaïr. Comment ? Pourquoi ? 11 était incapable de le dire, mais les faits étaient là. Et à présent, son wagonnet s’enfonçait dans les profondeurs insondables d'un tunnel qui le mènerait peut-être vers la solution d’une énigme qui ressemblait de plus en plus à un parcours d'obstacles.
Il était perdu dans ces pensées quand le genou cagneux du petit Tafik frappa mollement sa cuisse. Leur convoi avait tourné une nouvelle fois pour emprunter une galerie descendante. Pourquoi sentait-il aussi, sans raison apparente, que ce garçonnet tantôt déluré et tantôt fantasque était une pièce importante dans ce jeu dont les pions avaient la faculté de se déplacer avec une liberté totale ?
La voix au timbre creux de Yoran le tira de sa rêverie.
Nous sommes presque arrivés. Veuillez garder encore quelques instants vos masques. Dans peu de temps, vous pourrez vous rafraîchir et vous détendre, je vous le promets.
Avons-nous subitement mérité votre confiance ? rétorqua Liam. un rien provocateur.
Je crois vous avoir déjà dit, jeune homme, répondit le Cheik d'un ton dénué de reproche, que vous portez ces masques dans votre propre intérêt. Uniquement. Est-ce bien clair ? J’ajouterai pour illustrer mon propos que vous êtes les premiers étrangers au projet qui pénètrent dans ces murs depuis dix-huit ans révolus.
Tiens, dix-huit ans est aussi l’âge de votre petite fille ! remarqua Liam, surpris de constater cette coïncidence.
Exactement. Et vous comprendrez bientôt quel est le rapport entre ces deux dates...
La pièce où ils avaient été conduits ressemblait à s’y méprendre à la salle d’attente d'une quelconque clinique de province, sauf qu’ici il n’y avait pas de visages inquiets ni de pensionnaires déambulant en robe de chambre. L’odeur de formol et de produits chimiques en était absente aussi. En revanche, la pièce était carrelée de blanc du sol au plafond et une lumière très vive émanait d'un long tube fixé dans l’angle supérieur. Contre les murs, plusieurs banquettes aux lignes sobres ainsi qu'une table basse confortaient cette impression aseptisée et impersonnelle.
Une main rude avait ôté les masques qui couvraient leurs visages. Aveuglé par l’éclat de cette lumière soudaine, Liam mit quelques secondes avant de remarquer que le professeur Keifer se tenait à ses côtés. Il essaya de localiser le petit Tafik, mais leur jeune ami ne se trouvait pas dans la pièce. Intrigué. l'Irlandais 
chercha du regard sa silhouette familière, mais il ne rencontra qu’une interrogation muette dans les yeux des gardes. Apparemment, ou ils n’avaient pas encore constaté la disparition du gamin, ce qui semblait peu probable, ou il avait été conduit ailleurs sans que Keifer et lui s’en aperçoivent. Liam garda ses réflexions pour lui. La situation pouvait évoluer à tout moment, et la présence de Tafik n’était pour l’instant nullement indispensable.
Les gardes quittèrent la pièce par le couloir qu'ils avaient emprunté à l’aller. Un seul resta avec eux. Il avait l’allure d’un infirmier plutôt que celle d’un homme d’armes. Il portait une combinaison immaculée fermée à la taille par un lacet en tissu. Apparemment, il était aussi pressé de partir que ses camarades, car il leur donna les instructions qu’il avait reçu à leur égard d’un ton saccadé. De toute évidence, la présence d’étrangers dans ces lieux secrets ne faisait pas l’unanimité.
Je vais vous conduire à la chambre qui vous a été assignée, dit-il avec un raclement de gorge. Des installations sanitaires sont à votre disposition. Douchez-vous avec le produit désinfectant que vous trouverez sur place et jetez les hardes pleines de microbes que vous portez dans le vide-ordures, fit-il en désignant leurs vêtements d’un geste empreint de dégoût. Une tenue stérile a été prévue pour vous. Vous la trouverez sur vos lits respectifs.
Sans attendre une réponse de leur part, il tourna les talons et les précéda dans un couloir carrelé du blanc omniprésent. Une douzaine de mètres plus loin, le garde leva l’index de sa main droite et ajouta, comme s’il avait omis de leur faire une dernière recommandation :
Vous jetterez aussi votre linge de corps dans le vide- ordures, ainsi que vos chaussures. Débarrassez-vous de toutes vos saletés le plus vite possible. Compris ?
Liam ne put s’empêcher de rétorquer avec un zeste de provocation, même s’il savait pertinemment que les consignes du garde étaient indispensables avant de pénétrer dans un milieu stérile ou aseptisé : “Avez-vous prévu quelque chose au sujet des vaccins ? Nous sommes peut-être porteurs de la gale, de la rage ou de la pelade !
Le garde poursuivit son chemin comme s’il n’avait pas entendu la boutade, ouvrit une lourde porte étanche qui se trouvait quelques mètres plus loin et s'effaça pour leur laisser le passage.
Nous sommes arrivés. Vous pouvez rentrer. Et n'oubliez pas que si cheik Yoran vous a fait l'honneur de vous accueillir dans notre complexe, et vous avez accepté de venir, vous êtes maintenant, comme nous tous, soumis à des règles de sécurité strictes, dit-il à l'adresse de Liam. En attendant, suivez nos instructions à la lettre et tout se passera très bien. Vous comprendrez le moment venu que les mesures d'hygiène que nous vous imposons sont indispensables. Débarrassez-vous de vos microbes. Je reviendrai vous chercher dans deux heures.
Quand la porte se fut refermée derrière eux avec un bruit amorti, Liam se livra aussitôt à une sommaire inspection des lieux. 11 commença par la chambre, qui pouvait paraître spacieuse par rapport à l’étroitesse générale des lieux. Elle était meublée de deux couchettes, d'une table en matière synthétique, comme le reste du mobilier, et de deux chaises aux dossiers rigides. Sur la gauche, une porte ouvrait sur une salle de bains minuscule. Outre le classique bac à douche, le w.c. et un lavabo, le vide-ordures constituait la seule ouverture. Apparemment, la ventilation devait s’effectuer par la petite grille vissée au plafond près de la porte de la chambre à coucher.
Le professeur Keifer, qui avait gardé un mutisme obstiné depuis le début, s’appuya contre le montant de la couchette et passa une main distraite sur sa joue. Une barbe drue de couleur sel commençait à poindre. 11 se sentait fatigué, et des cernes ourlaient ses yeux dont le gris était devenu glauque.
Qu'en penses-tu à chaud. Liam ? demanda l'archéologue avec un soupir de lassitude. Sa question était plutôt un prétexte pour faire parler son compagnon et se donner le temps de récupérer quelques forces.
Liam se laissa tomber contre la couchette, croisa les mains derrière la nuque 

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